>>Euro : l'Italie file en huitièmes en asphyxiant la Suisse
>>Le ballon roule enfin, l'Italie démarre fort
>>Euro : l'Italie teste ses ambitions contre la Turquie en ouverture
L'Italien Manuel Locatelli célèbre son but contre la Suisse à l'Euro, le 16 juin à Rome |
Photo : AFP/VNA/CVN |
De qui cela fait-il les affaires ? L'Italie (1re, 6 points), déjà qualifiée grâce à ses deux victoires en deux matches, joue sa première place à domicile, au Stadio Olimpico de Rome, contre son actuel dauphin, le pays de Galles (2e, 4 pts).
Roberto Mancini va-t-il profiter de l'occasion pour préserver ses titulaires et lancer Marco Verratti, remis de sa blessure au genou droit début mai? Probable, d'autant que le deuxième du groupe A ne devrait pas piocher un adversaire très coriace en huitièmes.
Le premier doit affronter le deuxième du groupe B (Belgique, Finlande, Russie, Danemark) et le deuxième rencontrera le deuxième du groupe C (Pays-Bas, Ukraine, Autriche).
Pour les Gallois, en revanche, prendre au moins un point a son importance. Un nul et les équipiers de Gareth Bale sont assurés de finir dans les deux premiers. Une défaite et la Suisse (3e, 1 pt) aura une petite chance de les dépasser et de les faire glisser à la troisième place, qui promet au mieux un huitième contre un gros poisson.
Reste que cette troisième place reviendra plus probablement au vainqueur de Suisse - Turquie à Bakou.
En cas de victoire, la "Nati" aura 4 points et de bonnes chances de finir parmi les meilleurs troisièmes. Les Turcs, actuellement à zéro point et avec une différence de buts très défavorable (-5), risquent de passer à la trappe même en cas de victoire. Un nul, en revanche, condamnera quasi-certainement les deux équipes.