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Une vingtaine de volontaires ont été vaccinés mardi 10 mars lors d'une présentation de ces essais dans un centre médical de la banlieue de Conakry, a constaté un journaliste.
En tout, depuis le lancement des essais le 7 mars, une cinquantaine de personnes ont été vaccinées en Guinée, dont le ministre guinéen de la Santé Rémy Lamah, et le coordinateur national de lutte contre Ebola, le Dr Sakoba Keïta, a précisé l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
"Ces essais ont pour objectif de vérifier l'efficacité et l'innocuité du vaccin contre Ebola", sur la base du volontariat, a déclaré le Dr Aboubacar Soumah, de MSF.
"Toute personne vaccinée est soumise à une observation de 30 minutes pour voir s’il n’y a pas de réaction", puis suivie à des intervalles prédéterminés, a-t-il indiqué.
Le Dr Keïta, vacciné le 7 mars, a confié se "sentir bien" et ne pas éprouver d'effets secondaires, se félicitant que les premiers volontaires soient venus témoigner.
Le VSV-EBOV, l'un des deux vaccins les plus avancés contre le virus, a été mis au point par l’Agence de la santé publique du Canada.
L'autre vaccin, développé par la firme britannique GSK (GlaxoSmithKline) avec l'Institut américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) est testé depuis février au Liberia.
L'épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest, la plus grave depuis l'identification du virus en Afrique centrale en 1976, est partie en décembre 2013 du Sud de la Guinée avant de se propager au Liberia et à la Sierra Leone.
Elle a fait quelque 10.000 morts identifiés, un nombre nettement sous-estimé de l'aveu même de l'OMS, dont plus de 2.100 en Guinée, pour près de 24.000 cas recensés, à plus de 99% dans ces trois pays.
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Une vingtaine de volontaires ont été vaccinés mardi 10 mars lors d'une présentation de ces essais dans un centre médical de la banlieue de Conakry, a constaté un journaliste.
Séance d'information sur le vaccin à l'essai VSV-EBOV contre l'Ebola, le 10 mars dans un centre de santé de de Conakry. Photo : AFP/VNA/CVN |
En tout, depuis le lancement des essais le 7 mars, une cinquantaine de personnes ont été vaccinées en Guinée, dont le ministre guinéen de la Santé Rémy Lamah, et le coordinateur national de lutte contre Ebola, le Dr Sakoba Keïta, a précisé l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
"Ces essais ont pour objectif de vérifier l'efficacité et l'innocuité du vaccin contre Ebola", sur la base du volontariat, a déclaré le Dr Aboubacar Soumah, de MSF.
"Toute personne vaccinée est soumise à une observation de 30 minutes pour voir s’il n’y a pas de réaction", puis suivie à des intervalles prédéterminés, a-t-il indiqué.
Le Dr Keïta, vacciné le 7 mars, a confié se "sentir bien" et ne pas éprouver d'effets secondaires, se félicitant que les premiers volontaires soient venus témoigner.
Le VSV-EBOV, l'un des deux vaccins les plus avancés contre le virus, a été mis au point par l’Agence de la santé publique du Canada.
L'autre vaccin, développé par la firme britannique GSK (GlaxoSmithKline) avec l'Institut américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) est testé depuis février au Liberia.
L'épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest, la plus grave depuis l'identification du virus en Afrique centrale en 1976, est partie en décembre 2013 du Sud de la Guinée avant de se propager au Liberia et à la Sierra Leone.
Elle a fait quelque 10.000 morts identifiés, un nombre nettement sous-estimé de l'aveu même de l'OMS, dont plus de 2.100 en Guinée, pour près de 24.000 cas recensés, à plus de 99% dans ces trois pays.
AFP/VNA/CVN