>>La situation dans certains pays en Asie du Sud-Est
>>Singapour émet une alerte jaune pour une épidémie de coronavirus
Des Malaisiens portent des masques pour se protéger du nouveau coronavirus. |
Photo : VNA/CVN |
Le ministre cambodgien de la Santé, Mam Bunheng, a déclaré que la plupart des cas de COVID-19 au Cambodge étaient venus de l’étranger. Par conséquent, les autorités continueront de contrôler strictement tous les portes-frontières, aéroports, ports maritimes. Ceux qui viennent de l'étranger doivent être isolés pendant 14 jours dès leur arrivée au Cambodge.
À ce jour, le Cambodge a enregistré un total de 122 infections et aucun décès. Le pays avait enregistré son dernier cas le 12 avril.
D'autres pays d'Asie du Sud-Est comme Singapour, l'Indonésie, les Philippines et la Malaisie, ont encore confirmé de nouveaux cas.
Le 16 mai, Singapour a annoncé 465 nouvelles infections supplémentaires, portant le nombre total dans le pays à 27.356.
Le 16 mai, l'Indonésie a enregistré 529 nouveaux cas et 13 décès supplémentaires. À ce jour, le pays a signalé 17.025 cas, dont 1.089 décès.
Le même jour, la Malaisie a enregistré 17 nouveaux cas et un décès, portant le total à 6.872 et 113, respectivement.
De son côté, les Philippines ont enregistré un total de 12.305 cas d'infection dont 817 décès, soit 214 cas et 11 décès de plus que la veille.
À partir du 16 mai, les Philippines ont commencé à assouplir le confinement à Manille et de nombreuses autres grandes villes ont progressivement repris leurs activités économiques.
Au Laos, le gouvernement a annoncé le 15 mai l'assouplissement de certaines restrictions après 33 jours consécutifs sans aucune nouvelle infection.
À partir du 18 mai, les agences publiques et les entreprises seront autorisées à rouvrir, mais les mesures de prévention des épidémies doivent se poursuivre et le travail en ligne est toujours encouragé chaque fois que possible. Les activités de transport reprendront et les déplacements inter-provinciaux sont autorisés. Les étrangers au Laos peuvent retourner dans leurs pays d'origine et les travailleurs laotiens employés à l'étranger peuvent aussi retourner dans leurs entreprises à l'étranger.