>>Tunisie - Turquie : Saïed et Erdogan évoquent la coopération bilatérale
Le chef du gouvernement tunisien désigné, Habib Jemli (gauche) et le président de la République Kaïs Saïed, le 1er janvier au banlieu de Carthage. |
Le chef du gouvernement tunisien désigné, Habib Jemli (gauche) et le président de la République Kaïs Saïed, le 1er janvier au banlieu de Carthage. |
Avant de faire son annonce, le chef du gouvernement tunisien désigné, Habib Jemli, a rencontré le président Kaïs Saïed au palais de Carthage. Cette composition gouvernementale devra être soumise à un vote de confiance à l'Assemblée des représentants du peuple (parlement) et devra impérativement bénéficier, pour espérer exercer le pouvoir, une majorité absolue de 109 voix parmi les 217 voix possibles, selon la TAP.
Le chef du gouvernement désigné avait été chargé par le président tunisien le 15 novembre de former le nouveau gouvernement après avoir été proposé par le mouvement Ennahdha, qui a remporté le plus grand nombre de sièges au Parlement lors des dernières élections législatives.
APS/VNA/CVN