"Pour le moment, nous pouvons seulement parler de disparition", a déclaré Elsa Gonzalez confirmant des déclarations sur la chaîne de télévision publique espagnole TVE 24 heures.
Elsa Gonzalez a indiqué que cette information lui avait été confirmée par des sources officielles.
Le ministère des Affaires étrangères, a de son côté indiqué être "au courant de la situation". "Nous y travaillons", a ajouté un porte-parole sans autre précision.
Elsa Gonzalez a ajouté que les trois journalistes indépendants étaient entrés en Syrie le 10 juillet via la Turquie et que l'on était sans nouvelles des trois hommes depuis le 12 juillet.
Les trois journalistes indépendants, Antonio Pampliega, né en 1982, Jose Manuel Lopez, né en 1971 et Angel Sastre, âgé de 35 ans, travaillaient récemment pour des médias espagnols, notamment les quotidiens ABC et La Razon, la chaîne Cuatro, et la radio Onda Cero.
Elsa Gonzalez ignorait s'ils étaient ensemble et pour quels médias ils travaillaient au moment précis de leur disparition. Ils réalisaient une enquête ensemble en Syrie, selon la télévision publique.
Dans un communiqué diffusé par plusieurs médias, leurs familles ont demandé de la "patience", le "plus de discrétion possible" et surtout, "du respect".
Antonio Pampliega a contribué à la couverture texte de l'AFP en Syrie jusqu'en 2013. Jose Manuel Lopez a participé à la couverture photo de l'AFP de plusieurs conflits, dont celui en Syrie jusqu'en 2013. "Il y a d'intenses combats dans cette région et par conséquent il existe des raisons de s'inquiéter", a encore déclaré la présidente de la FAPE.
La ville d'Alep, la deuxième de Syrie, est divisée depuis la mi-2012 entre rebelles et loyalistes, et vit régulièrement des bombardements.
La guerre en Syrie, qui a commencé par des manifestations pacifiques réprimées dans le sang, a fait plus de 230.000 morts depuis mars 2011.
Régime, rebelles, Kurdes et jihadistes s'affrontent sur un territoire de plus en plus morcelé.
Mardi 21 juillet, au moins 18 civils ont été tués et des dizaines ont été blessés mardi par le tir d'un "missile sol-sol" des forces du régime syrien sur la Vieille ville d'Alep, a rapporté une ONG.
Elsa Gonzalez a indiqué que cette information lui avait été confirmée par des sources officielles.
Le ministère des Affaires étrangères, a de son côté indiqué être "au courant de la situation". "Nous y travaillons", a ajouté un porte-parole sans autre précision.
Vue générale d'Alep, dans le Nord de la Syrie. Photo : AFP/VNA/CVN |
Elsa Gonzalez a ajouté que les trois journalistes indépendants étaient entrés en Syrie le 10 juillet via la Turquie et que l'on était sans nouvelles des trois hommes depuis le 12 juillet.
Les trois journalistes indépendants, Antonio Pampliega, né en 1982, Jose Manuel Lopez, né en 1971 et Angel Sastre, âgé de 35 ans, travaillaient récemment pour des médias espagnols, notamment les quotidiens ABC et La Razon, la chaîne Cuatro, et la radio Onda Cero.
Elsa Gonzalez ignorait s'ils étaient ensemble et pour quels médias ils travaillaient au moment précis de leur disparition. Ils réalisaient une enquête ensemble en Syrie, selon la télévision publique.
Dans un communiqué diffusé par plusieurs médias, leurs familles ont demandé de la "patience", le "plus de discrétion possible" et surtout, "du respect".
Antonio Pampliega a contribué à la couverture texte de l'AFP en Syrie jusqu'en 2013. Jose Manuel Lopez a participé à la couverture photo de l'AFP de plusieurs conflits, dont celui en Syrie jusqu'en 2013. "Il y a d'intenses combats dans cette région et par conséquent il existe des raisons de s'inquiéter", a encore déclaré la présidente de la FAPE.
La ville d'Alep, la deuxième de Syrie, est divisée depuis la mi-2012 entre rebelles et loyalistes, et vit régulièrement des bombardements.
La guerre en Syrie, qui a commencé par des manifestations pacifiques réprimées dans le sang, a fait plus de 230.000 morts depuis mars 2011.
Régime, rebelles, Kurdes et jihadistes s'affrontent sur un territoire de plus en plus morcelé.
Mardi 21 juillet, au moins 18 civils ont été tués et des dizaines ont été blessés mardi par le tir d'un "missile sol-sol" des forces du régime syrien sur la Vieille ville d'Alep, a rapporté une ONG.
AFP/VNA/CVN