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| Une femme reçoit un vaccin contre la variole et le Mpox. |
| Photo : Xinhua/VNA/CVN |
"Les efforts de vaccination s'intensifient à Goma pour protéger les enfants et les communautés vulnérables face à la propagation de la maladie", a indiqué l'agence onusienne sur son site internet.
Selon le Fonds, les déplacements massifs de populations augmentent le risque de propagation des épidémies. Depuis le début de l'année, plus de 3.300 cas suspects de Mpox ont été recensés dans la province du Nord-Kivu.
"Face à l'urgence de la situation, l'UNICEF a appuyé le déploiement de 12 équipes mobiles de vaccination dans les zones les plus touchées de Goma", a-t-elle ajouté.
Sur l'ancien site pour personnes déplacées de Baraka à Goma, le silence a remplacé les cris d'enfants et le bruit des casseroles. Là où s'élevaient des milliers de tentes il y a encore quelques semaines, il ne reste aujourd'hui qu'un terrain vide et poussiéreux.
C'est dans ce décor que Pascal Kwizera, vaccinateur, et son collègue se déplacent ce matin. Leur destination : l'École Primaire Kabingo.
Un élève de 6 ans, Raphaël, y a récemment été diagnostiqué porteur de la Mpox. "Il y a eu un cas confirmé de Mpox parmi les élèves de cette école, alors nous vaccinons tous les enfants de l'école de 12 à 17 ans, qui sont des contacts directs", explique Pascal en revêtant sa blouse de protection une fois arrivé à destination.
APS/VNA/CVN
