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Dans la journée, un navire de la marine italienne a secouru 286 personnes qui se trouvaient sur une embarcation de fortune, à bord de laquelle un corps a été retrouvé, a annoncé la marine sur Twitter.
Trois des personnes secourues ont été conduites par hélicoptère vers un hôpital en raison d'inquiétudes pour leur santé, a ajouté la marine.
La cause du décès constaté n'a pas été précisée, mais les gardes-côtes répètent régulièrement que les conditions sont toujours "extrêmes" sur les embarcations de fortune des migrants.
Lors d'une autre opération, deux vedettes des gardes-côtes et un cargo battant pavillon néerlandais ont secouru 320 migrants en difficulté dans les eaux maltaises. Tous devaient débarquer en Sicile dans les prochaines heures.
La dernière opération de secours de la journée a été réalisée près des eaux italiennes par le patrouilleur français "Commandant Birot", ont indiqué les autorités françaises.
La préfecture maritime a précisé que 297 migrants, dont 51 femmes et enfants, ont été recueillis sains et saufs.
Leur embarcation, un navire de pêche d'une vingtaine de mètres de long, avait été repérée à quelque 300 km au Sud-Est de l'Italie par un avion italien lui aussi engagé dans l'opération Triton.
L'opération Triton, coordonnée par Frontex, l'agence européenne pour la surveillance des frontières, a été lancée en novembre 2014 pour aider l'Italie à contrôler ses frontières maritimes et secourir les migrants.
Après une série de naufrages dévastateurs, la Commission européenne a décidé le 23 avril de tripler le budget de l'opération, qui était au départ d'environ 3 millions d'euros par mois.
Depuis le début de l'année, quelque 38.690 clandestins ont débarqué en Italie, mais quelque 1.770 hommes, femmes et enfants sont morts ou disparus, selon un décompte de l'Organisation internationale des migrations (OIM) au 19 mai.
Les Erythréens sont les plus nombreux, devant les Éthiopiens, les Somaliens, les Syriens, les Nigérians, les Gambiens et d'autres pays d'Afrique sub-saharienne, a précisé l'OIM.
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Dans la journée, un navire de la marine italienne a secouru 286 personnes qui se trouvaient sur une embarcation de fortune, à bord de laquelle un corps a été retrouvé, a annoncé la marine sur Twitter.
Trois des personnes secourues ont été conduites par hélicoptère vers un hôpital en raison d'inquiétudes pour leur santé, a ajouté la marine.
Photo prise et fournie par la Marine Nationale le 20 mai montre des migrants secourus en Méditerrannée. Photo : AFP/VNA/CVN |
La cause du décès constaté n'a pas été précisée, mais les gardes-côtes répètent régulièrement que les conditions sont toujours "extrêmes" sur les embarcations de fortune des migrants.
Lors d'une autre opération, deux vedettes des gardes-côtes et un cargo battant pavillon néerlandais ont secouru 320 migrants en difficulté dans les eaux maltaises. Tous devaient débarquer en Sicile dans les prochaines heures.
La dernière opération de secours de la journée a été réalisée près des eaux italiennes par le patrouilleur français "Commandant Birot", ont indiqué les autorités françaises.
La préfecture maritime a précisé que 297 migrants, dont 51 femmes et enfants, ont été recueillis sains et saufs.
Leur embarcation, un navire de pêche d'une vingtaine de mètres de long, avait été repérée à quelque 300 km au Sud-Est de l'Italie par un avion italien lui aussi engagé dans l'opération Triton.
L'opération Triton, coordonnée par Frontex, l'agence européenne pour la surveillance des frontières, a été lancée en novembre 2014 pour aider l'Italie à contrôler ses frontières maritimes et secourir les migrants.
Après une série de naufrages dévastateurs, la Commission européenne a décidé le 23 avril de tripler le budget de l'opération, qui était au départ d'environ 3 millions d'euros par mois.
Depuis le début de l'année, quelque 38.690 clandestins ont débarqué en Italie, mais quelque 1.770 hommes, femmes et enfants sont morts ou disparus, selon un décompte de l'Organisation internationale des migrations (OIM) au 19 mai.
Les Erythréens sont les plus nombreux, devant les Éthiopiens, les Somaliens, les Syriens, les Nigérians, les Gambiens et d'autres pays d'Afrique sub-saharienne, a précisé l'OIM.
AFP/VNA/CVN