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Le sommet du Mont-Blanc, dans les Alpes. |
Lundi 28 septembre, les chefs d'État et de gouvernement de 66 pays et de l'Union européenne avaient déjà décidé d'adhérer à cet engagement.
Les dirigeants se sont notamment engagés à placer la biodiversité, le climat et l'environnement à la fois au cœur des stratégies et des investissements de leur pays en vue de relancer l'économie après le COVID-19, et au centre des efforts de développement et de coopération nationaux et internationaux.
Ils ont promis que la réponse à la crise économique et sanitaire actuelle serait écologique et juste, et contribuerait directement à reconstruire en mieux et à créer des sociétés plus durables.
Pour atteindre les Objectifs de Développement Durable de l'ONU, ils se sont également engagés à élaborer un cadre de travail global ambitieux et révolutionnaire en matière de biodiversité pour l'après 2020, afin notamment de le faire adopter au cours de la Conférence des Nations Unies sur la biodiversité qui se tiendra en mai 2021 à Kunming, en Chine.
Ce cadre devrait notamment inclure un ensemble d'objectifs clairs et substantiels, appuyés par un mécanisme de suivi et d'examen et par des moyens de mise en œuvre solides, ont-ils déclaré.
Xinhua/VNA/CVN