Le Premier ministre britannique David Cameron (1er, à gauche) et le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon (centre, à droite), à la conférence internationale sur la Somalie, le 23 février à Londres. |
"Aujourd'hui, nous avons une occasion sans précédent de changer" la situation, "il y a un réel élan", a-t-il lancé devant une cinquantaine de pays et d'institutions, dont l'ONU, l'Union européenne et la Ligue arabe.
"Les problèmes en Somalie n'affectent pas seulement la Somalie. Ils nous affectent tous (...). Les pirates perturbent les routes commerciales vitales et kidnappent des touristes. Des jeunes esprits sont empoisonnés par le radicalisme, nourrissant le terrorisme qui menace la sécurité du monde entier", a-t-il souligné. "Faisons de cette conférence un tournant pour aider le peuple somalien à reconquérir leur pays et ainsi obtenir une plus grande stabilité et prospérité pour la Somalie, la région et le monde, a conclu M. Cameron devant notamment le président somalien Sharif Cheikh Ahmed et la secrétaire d'État américaine Hillary Clinton.
AFP/VNA/CVN