>>Obama défend sa politique de non paiement de rançon pour libérer des otages
Confronté à de virulentes critiques concernant l'inefficacité et le manque de coordination de l'administration américaine, le président Barack Obama devait présenter lui-même le 24 juin en milieu de journée une série de mesures visant à mieux répondre aux attentes des familles. Reconnaissant les inquiétudes exprimées par certaines d'entre elles, l'exécutif américain souligne qu'il n'entend pas "ajouter à la douleur des familles" en suggérant qu'elles pourraient faire l'objet de poursuites pénales.
La Maison Blanche réaffirme par ailleurs son opposition au paiement de rançons par le gouvernement, contrairement aux pratiques en vigueur dans d'autres pays occidentaux, soulignant que cette approche protège les Américains et renforce la sécurité nationale "en enlevant une motivation centrale pour les preneurs d'otages".
Elle insiste cependant sur le fait que cette politique de "non-concession" ne signifie pas "non-communication" avec les preneurs d'otage. "Le gouvernement américain lui-même peut communiquer avec les preneurs d'otages, leurs intermédiaires, les gouvernements concernés et les communautés locales pour essayer d'obtenir la libération des otages", souligne la Maison Blanche.
Confronté à de virulentes critiques concernant l'inefficacité et le manque de coordination de l'administration américaine, le président Barack Obama devait présenter lui-même le 24 juin en milieu de journée une série de mesures visant à mieux répondre aux attentes des familles. Reconnaissant les inquiétudes exprimées par certaines d'entre elles, l'exécutif américain souligne qu'il n'entend pas "ajouter à la douleur des familles" en suggérant qu'elles pourraient faire l'objet de poursuites pénales.
Le président Barack Obama, le 24 juin à la Maison Blanche. Photo : AFP/VNA/CVN |
La Maison Blanche réaffirme par ailleurs son opposition au paiement de rançons par le gouvernement, contrairement aux pratiques en vigueur dans d'autres pays occidentaux, soulignant que cette approche protège les Américains et renforce la sécurité nationale "en enlevant une motivation centrale pour les preneurs d'otages".
Elle insiste cependant sur le fait que cette politique de "non-concession" ne signifie pas "non-communication" avec les preneurs d'otage. "Le gouvernement américain lui-même peut communiquer avec les preneurs d'otages, leurs intermédiaires, les gouvernements concernés et les communautés locales pour essayer d'obtenir la libération des otages", souligne la Maison Blanche.
AFP/VNA/CVN