Réfugiés climatiques
L'ONU privilégie une approche régionale

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Alors que le nombre de personnes déplacées dans le monde à cause d'événements liés au changement climatique ne cesse d'augmenter, l'ONU et ses partenaires privilégient une approche régionale plutôt que mondiale face à la question de la création d'un statut de réfugié climatique, selon un communiqué rend public mercredi 8 novembre par l'ONU sur son site officiel. La moyenne annuelle de déplacements liés aux catastrophes a été de 25,3 millions de personnes dans le monde entre 2008 et 2016, selon des chiffres du Conseil norvégien pour les réfugiés. Les cinq pays les plus affectés proportionnellement à leur population sont tous des États insulaires. Il s'agit de Cuba, des Fidji, des Philippines, de Tonga et du Sri Lanka. "Au cours de cette saison des ouragans, nous avons vu le déplacement de 1,7 million de personnes à Cuba, soit l'équivalent de 15% de sa population", a noté la responsable du programme humanitaire d'Oxfam en République dominicaine, Camila Minerva, lors d'une conférence de presse sur la mobilité humaine et le changement climatique à la Conférence sur le climat (COP 23), à Bonn, en Allemagne.


Xinhua/VNA/CVN

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