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Un membre des forces affiliées au gouvernement libyen d'union nationale sur le site d'un charnier présumé à Tarhouna, le 11 juin. |
"La Manul relève avec horreur les informations sur au moins huit charniers découverts ces derniers jours, dont la plupart à Tarhouna", environ à 65 km au sud-est de Tripoli, dernier fief des forces du maréchal Khalifa Haftar dans l'ouest du pays pris le 5 juin par les forces du gouvernement d'union nationale (GNA), reconnu par l'ONU.
"Le droit international exige que les autorités mènent des enquêtes rapides, efficaces et transparentes sur tous les cas présumés de décès illégaux", a rappelé la Mission onusienne.
Elle s'est par ailleurs félicitée de la création jeudi 11 juin par le ministère de la Justice du GNA d'une commission d'enquête, appelant à entamer "rapidement les travaux" pour "sécuriser les charniers, identifier les victimes, établir les causes de décès et restituer les dépouilles" aux familles.
APS/VNA/CVN