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Une station de surveillance automatique de la qualité de l’air à Hanoï. |
Photo : VEP/CVN |
Selon le plan national de surveillance environnementale récemment publié par le gouvernement, parmi les nouvelles stations, 62 devraient être situées dans des zones fortement influencées par les activités humaines pour alerter les gens de l'impact sur leur santé tandis que six autres dans les régions peu affectées qui se situent essentiellement dans la région montagneuse du Nord, le delta du fleuve Rouge, la région littorale du Centre méridional.
Il y aura également 18 points de surveillance transfrontaliers situés dans les provinces de Cao Bang, Diên Biên, Lang Son, Lai Châu, Lào Cai, Hà Giang, Nghê An, Dak Nông, Binh Phuoc, Tây Ninh, Long An, An Giang et Kiên Giang. Ces stations mesureront les particules fines PM 2,5, les PM 10, le dioxyde de soufre SO2, le dioxyde d'azote NO2, le monoxyde de carbone CO et l’ozone O3.
D’ici 2025, huit sessions de surveillance régulières auront lieu chaque année, et ce chiffre passera ensuite à 12, fournissant des données sur le SO2, le NO2, le CO et les particules totales en suspension TSP. Les cinq villes de ressort central surveilleront également les PM 2,5. Après 2030, il est prévu de construire 15 autres stations de surveillance automatique continue de la qualité de l’air.
Hoàng Duong Tùng, président du Réseau d’air pur, a estimé que la planification des points et des stations de surveillance est nécessaire compte tenu de la gravité de la pollution de l'air et de la limite de données pour la recherche et les alertes.
VNA/CVN