>>Le Vietnam déterminé à défendre fermement sa souveraineté et son intégrité territoriale
>>Des documents sur la souveraineté nationale en Mer Orientale
"Nous sommes préoccupés par les tensions dans la Mer de Chine orientale et la Mer de Chine méridionale", ont-ils indiqué dans leur déclaration commune publiée à l’issue du sommet annuel du G7 regroupant Canada, Japon, France, Allemagne, Italie, Grande-Bretagne et États-Unis.
"Nous nous sommes engagés à maintenir un ordre fondé sur des règles dans le domaine maritime sur la base des principes du droit international, comme le stipule en particulier la Convention des Nations unies sur le droit de la mer", ont-ils déclaré.
Soulignant "l’importance du règlement pacifique des différends ainsi que de l’utilisation licite et sans entraves des océans de la planète", ils ont affirmé s’opposer "fermement au recours à l’intimidation, à la coercition ou à la force, ainsi qu’à toute action unilatérale visant à changer le statu quo, comme le remblaiement des terres à grande échelle".
Les critiques se sont multipliés sur la frénésie de construction d’îles semi-artificielles par la Chine en Mer Orientale. Lors du 14e Dialogue de Shangri-La, le représentant de la Chine a admis que "son pays construisait plusieurs ouvrages sur des récifs" en Mer Orientale, mais que "ces constructions visaient principalement à améliorer les conditions de vie et de travail des gens qui y vivent".
Entre-temps, le département américain de la Défense a confirmé que la Chine a déployé récemment deux pièces d’artillerie sur un îlot artificiel en Mer Orientale. Le secrétaire américain à la Défense, Ashton Carter, a déclaré que "nous nous opposons également à toute militarisation supplémentaire" de la zone.
Les dirigeants des sept pays les plus industrialisés du monde ont exprimé il y a un an leur préoccupation au sujet des tensions entre la Chine et un certain nombre d’autres pays d’Asie en Mer de Chine orientale et en Mer Orientale, et mis en garde contre toute utilisation de la force.
>>Des documents sur la souveraineté nationale en Mer Orientale
"Nous sommes préoccupés par les tensions dans la Mer de Chine orientale et la Mer de Chine méridionale", ont-ils indiqué dans leur déclaration commune publiée à l’issue du sommet annuel du G7 regroupant Canada, Japon, France, Allemagne, Italie, Grande-Bretagne et États-Unis.
"Nous nous sommes engagés à maintenir un ordre fondé sur des règles dans le domaine maritime sur la base des principes du droit international, comme le stipule en particulier la Convention des Nations unies sur le droit de la mer", ont-ils déclaré.
Photo de famille du Sommet du G7 en Allemagne. Photo : AFP/VNA/CVN |
Soulignant "l’importance du règlement pacifique des différends ainsi que de l’utilisation licite et sans entraves des océans de la planète", ils ont affirmé s’opposer "fermement au recours à l’intimidation, à la coercition ou à la force, ainsi qu’à toute action unilatérale visant à changer le statu quo, comme le remblaiement des terres à grande échelle".
Les critiques se sont multipliés sur la frénésie de construction d’îles semi-artificielles par la Chine en Mer Orientale. Lors du 14e Dialogue de Shangri-La, le représentant de la Chine a admis que "son pays construisait plusieurs ouvrages sur des récifs" en Mer Orientale, mais que "ces constructions visaient principalement à améliorer les conditions de vie et de travail des gens qui y vivent".
Entre-temps, le département américain de la Défense a confirmé que la Chine a déployé récemment deux pièces d’artillerie sur un îlot artificiel en Mer Orientale. Le secrétaire américain à la Défense, Ashton Carter, a déclaré que "nous nous opposons également à toute militarisation supplémentaire" de la zone.
Les dirigeants des sept pays les plus industrialisés du monde ont exprimé il y a un an leur préoccupation au sujet des tensions entre la Chine et un certain nombre d’autres pays d’Asie en Mer de Chine orientale et en Mer Orientale, et mis en garde contre toute utilisation de la force.
VNA/CVN