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Photo prise le 12 janvier montrant le paysage urbain de la ville de Luanda, la capitale de l'Angola. |
Photo : Xinhua/VNA/CVN |
Les chiffres ont été donnés par un rapport présenté vendredi 28 avril à Luanda, capitale angolaise, par l'Institut de réglementation du pays.
Selon l'Agence de presse angolaise, l'Institut angolais de réglementation des dérivés du pétrole a dit qu'au premier trimestre, 64% des produits acquis ont été importés, 35% ont été achetés auprès de la raffinerie de Luanda, et 1% auprès de la Cabinda Golf Company-Topping à Cabinda.
En Angola, trois nouvelles raffineries sont en cours de construction pour traiter le pétrole brut à Cabinda, Soyo et Lobito, des quantités qui auront un impact sur la réduction des volumes actuels de produits raffinés importés.
Sur la quantité acquise pour la commercialisation, environ 48,2% correspondent au diesel, 35,3% à l'essence, 9,4% au mazout, 5,5% au Jet A1, 1,3% à l'huile d'éclairage et les 0,2% restants à l'asphalte.
Avec un prix à seulement 0,314 USD par litre, l'Angola est le quatrième pays où l'essence est la moins chère au monde, selon les données mises à jour en avril par le site Internet Global Petrol Prices.
En raison de problèmes fiscaux et de la pression exercée par les institutions financières internationales, le gouvernement angolais a annoncé qu'il supprimera progressivement sa politique de subvention des prix des carburants.
Xinhua/VNA/CVN