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Un tribunal argentin l'a reconnue mardi 6 décembre coupable "d'administration frauduleuse" concernant des contrats de travaux publics irréguliers attribués pendant sa présidence de deux mandats entre 2007 et 2015. La vice-présidente ne sera pas condamnée à une peine d'emprisonnement immédiate et devrait également faire appel de la sentence. Elle a nié les allégations et a qualifié le tribunal de "peloton d'exécution". C'est la première fois qu'un vice-président argentin est condamné pour un crime pendant son mandat. Mardi 6 décembre également, Fernandez de Kirchner a écrit sur les réseaux sociaux, après le jugement, qu'elle ne serait candidate à aucun poste politique lors des élections générales de 2023.
Xinhua/VNA/CVN