>>JO de Pékin : pas de spectateurs étrangers, quarantaine pour les sportifs non-vaccinés
>>JO-2022 : après Tokyo, Pékin face au défi des Jeux du COVID
La flamme olympique est allumée par l'actrice grecque Xanthi Georgiou, durant la cérémonie sur le site historique d'Olympe, le 18 octobre. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
La flamme a été allumée peu après 12h00 locales (09h00 GMT) par les rayons du soleil sur les ruines du temple antique d'Hera à Olympie, berceau des Jeux de l'Antiquité.
Seuls étaient présents Thomas Bach, président du Comité international olympique (CIO), la présidente de la République hellénique Katerina Sakellaropoulou, des représentants des comités olympiques grec et chinois et des journalistes accrédités.
Pour la seconde fois consécutive et la troisième dans l'histoire des JO modernes, la cérémonie traditionnelle s’est tenue à huis clos en raison de la pandémie du coronavirus, comme pour les JO-2020 de Tokyo.
Avant la crise sanitaire, la flamme n'avait été allumée à huis clos qu'en 1984, quand les organisateurs grecs avaient voulu protester contre le caractère commercial des Jeux olympiques de Los Angeles.
L'actrice Xanthi Georgiou, vêtue en ancienne prêtresse grecque, a allumé la flamme de manière traditionnelle, grâce aux rayons du soleil passant à travers un miroir parabolique.
"En ces temps difficiles que nous vivons encore, les Jeux olympiques d'hiver de Pékin 2022 seront un moment important pour rassembler le monde dans un esprit de paix, d'amitié et de solidarité", a déclaré le président du CIO, Thomas Bach.
Thomas Bach a appelé à "plus de solidarité au sein des sociétés".
"Comme la pandémie mondiale de coronavirus l’a clairement montré, nous ne pouvons relever les nombreux défis de ce monde que dans la solidarité. (...) Il n'y a pas de paix sans solidarité", a-t-il ajouté.
AFP/VNA/CVN