JO-2020 : "La pression est un privilège" du sport de haut niveau, juge Djokovic

Le N°1 mondial de tennis Novak Djokovic a estimé mercredi 28 juillet que la pression était un "privilège", après que la décision de la star américaine de la gymnastique Simone Biles de se retirer de deux épreuves a mis en lumière l'impact de la pression sur la santé mentale des athlètes.

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Le Serbe Novak Djokovic, lors de son 8e de finale contre l'Espagnol Alejandro Davidovich Fokina, le 28 juillet aux JO de Tokyo 2020.
AFP/VNA/CVN

"La pression est un privilège. Sans elle, il n'y a pas de sport professionnel", a affirmé le Serbe Novak Djokovic, toujours en lice pour devenir le premier joueur de tennis à remporter le "Golden Slam", soit les quatre tournois du Grand Chelem et l'or olympique la même année.

"Pour espérer rester au sommet d'un sport, on a intérêt à apprendre à gérer la pression", a-t-il ajouté.

Djokovic a été aperçu en pleine conversation avec les équipes turques de volley, leur assurant que son mental était un facteur crucial pour expliquer sa longévité.

"Sur et en-dehors du terrain, toutes les attentes... J'ai appris à développer un mécanisme pour gérer cela de manière à ce que ça ne me dérange plus, ça ne m'usera plus", a expliqué le Djoker.

La décision de Simone Biles de se retirer du concours par équipes et du concours général a mis en lumière les problèmes de santé mentale dont peuvent souffrir les athlètes de haut niveau, soumis à une énorme pression.


AFP/VNA/CVN

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