>>Chômage en France : l'année 2014 soldée avec la publication des chiffres de décembre
Les chiffres du chômage pour janvier sont "un encouragement et aussi une manière de conforter la confiance, parce que sans confiance il n'y a pas de croissance, sans croissance il n'y a pas de confiance, donc c'est un déclic", a estimé jeudi matin 26 février sur BFM-TV M. Valls, ajoutant néanmoins qu'il "ne faut surtout pas crier victoire".
"Nous connaissons un contexte économique qui s'améliore. D'abord pour des raisons de conjoncture internationale, avec un euro beaucoup moins cher et cela aide notamment nos entreprises à l'exportation", a-t-il souligné. "Il y a une baisse des taux d'intérêt, il y a aussi un niveau du prix du pétrole qui est particulièrement bas et qui est une bonne chose à la fois pour les entreprises, mais aussi pour les ménages", a-t-il poursuivi.
"À cela se rajoute bien sûr la mise en œuvre du pacte de responsabilité et de solidarité. C'est un élément important pour notre économie, pour la croissance et donc pour la compétitivité des entreprises", a relevé le chef du gouvernement français.
C'est "un encouragement mais il faut continuer de soutenir la croissance, la compétitivité des entreprises parce que sans croissance il n'y aura pas de baisse du chômage (...), mais cela m'encourage surtout à poursuivre sur la voie des réformes dont le pays a besoin", a-t-il conclu.
Mercredi 25 février, le ministre du Travail, François Rebsamen, avait en effet annoncé dans un communiqué que le nombre de demandeurs d'emploi inscrits à Pôle Emploi en catégorie A (sans aucune activité sur le mois) a diminué de 0,5% en janvier, soit 19.100 personnes en moins, pour s'établir à 3,48 millions en France métropolitaine.
Il s'agit de la première baisse du chômage en France depuis six mois et de la quatrième en 33 mois de mandat du président François Hollande, rappelait mercredi 25 février la presse française.
La baisse du chômage en janvier est "un encouragement" à poursuivre, juge Valls. Photo : AFP/VNA/CVN |
Les chiffres du chômage pour janvier sont "un encouragement et aussi une manière de conforter la confiance, parce que sans confiance il n'y a pas de croissance, sans croissance il n'y a pas de confiance, donc c'est un déclic", a estimé jeudi matin 26 février sur BFM-TV M. Valls, ajoutant néanmoins qu'il "ne faut surtout pas crier victoire".
"Nous connaissons un contexte économique qui s'améliore. D'abord pour des raisons de conjoncture internationale, avec un euro beaucoup moins cher et cela aide notamment nos entreprises à l'exportation", a-t-il souligné. "Il y a une baisse des taux d'intérêt, il y a aussi un niveau du prix du pétrole qui est particulièrement bas et qui est une bonne chose à la fois pour les entreprises, mais aussi pour les ménages", a-t-il poursuivi.
"À cela se rajoute bien sûr la mise en œuvre du pacte de responsabilité et de solidarité. C'est un élément important pour notre économie, pour la croissance et donc pour la compétitivité des entreprises", a relevé le chef du gouvernement français.
C'est "un encouragement mais il faut continuer de soutenir la croissance, la compétitivité des entreprises parce que sans croissance il n'y aura pas de baisse du chômage (...), mais cela m'encourage surtout à poursuivre sur la voie des réformes dont le pays a besoin", a-t-il conclu.
Mercredi 25 février, le ministre du Travail, François Rebsamen, avait en effet annoncé dans un communiqué que le nombre de demandeurs d'emploi inscrits à Pôle Emploi en catégorie A (sans aucune activité sur le mois) a diminué de 0,5% en janvier, soit 19.100 personnes en moins, pour s'établir à 3,48 millions en France métropolitaine.
Il s'agit de la première baisse du chômage en France depuis six mois et de la quatrième en 33 mois de mandat du président François Hollande, rappelait mercredi 25 février la presse française.
Xinhua/VNA/CVN