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Megan Rapinoe, l'une des figures emblématiques du football féminin, lors de la finale de la coupe du monde 2019 en France, le 7 juillet à Lyon. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
"Je ressens de la résistance contre l'organisation de deux événements majeurs dans le même pays en l'espace de peu de temps, une résistance renforcée par l'impact du coronavirus", a indiqué le président de la JFA dans un communiqué, en référence aux Jeux de Tokyo reportés d'un an à 2021 en raison de la pandémie.
Il a également fait remarquer que la Fédération de football d'Asie du Sud-Est a déjà reporté son soutien à la candidature conjointe de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande, et que le Japon a accueilli plusieurs tournois de la FIFA ces dernières années.
Le retrait du Japon laisse place à un duel entre la Colombie et la candidature australe, présentée comme favorite.
Cette décision intervient quelques semaines après le renoncement du Brésil en raison de l'austérité imposée par la pandémie de COVID-19.
La FIFA doit annoncer jeudi 25 juin le vainqueur d'une bataille réduite de 10 à 2 candidats.
La Coupe du monde dames, dont la dernière édition en France a été suivie par plus d'un milliard de personnes, passe d'un format de 24 à 32 équipes pour gagner encore en popularité.
Le Japon doit accueillir les Jeux olympiques à partir du 23 juillet 2021 mais certains spécialistes doutent de la maitrise totale de la pandémie d'ici là.
AFP/VNA/CVN