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Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu (gauche) à Jérusalem le 13 août 2020 et le roi bahreïni Hamad bin Isa Al Khalifa à Riyad, en Arabie saoudite, le 21 mai 2017. |
L'annonce sur la normalisation avec Bahreïn, quelques semaines à peine après la décision des Émirats arabes unis de reconnaître l'État hébreu, intervient dans un contexte de tensions croissantes avec l'Iran.
Les Émirats arabes unis et Bahreïn sont les troisième et quatrième pays arabes à établir des liens diplomatiques avec l'État hébreu, plus de 20 ans après la Jordanie (1994) et l'Égypte (1979).
Le président américain, à qui Israël et Bahreïn ont laissé l'honneur d'annoncer leur accord, s'est félicité de ce succès, quelques jours à peine après s'être réjoui d'avoir reçu une nomination pour le prix Nobel de la Paix, grâce à l'accord avec les Émirats.
En outre, l'annonce intervient au moment même où le gouvernement afghan entame des négociations de paix historiques avec les talibans, un autre progrès vers un objectif clé de M. Trump, qui a promis de mettre un terme aux "guerres sans fin".
AFP/VNA/CVN