>> Challenges propose des articles du New York Times avec l'aide de l'IA
>> L’essor de l’intelligence artificielle stimule une nouvelle vague de start-up au Vietnam
>> Google réalise 28,2 milliards de dollars de bénéfice trimestriel grâce à l'IA
![]() |
La Conférence mondiale sur l'intelligence artificielle (IA) a débuté samedi 26 juillet à Shanghai. |
Photo : VNA/CVN |
Donald Trump a dévoilé cette semaine un plan d'action pour favoriser le développement sans entrave des modèles américains d'IA aux États-Unis et à l'étranger, écartant toutes les réserves sur ses possibles dérives.
Le président américain entend ainsi rompre avec la ligne adoptée par son prédécesseur démocrate Joe Biden, partisan d'un essor contrôlé. "Nous ne laisserons aucune autre nation nous battre" dans la course à l'IA, a ainsi déclaré M. Trump.
Mais samedi 26 juillet, lors de l'ouverture de la Conférence mondiale sur l'intelligence artificielle (WAIC) à Shanghai, Li Qiang a appelé à une bonne gouvernance et au partage des ressources, annonçant notamment la création d'un organisme, lancé par la Chine, destiné à stimuler la coopération internationale en matière d'IA.
"Les risques et les défis liés à l'intelligence artificielle suscitent une attention généralisée", a indiqué Li Qiang dans son discours. Il est urgent de "trouver un équilibre entre développement et sécurité, ce qui nécessite un consensus plus large de la part de l'ensemble de la société", a-t-il souligné.
Gouvernance de l'IA : un test décisif
L'IA est utilisée de façon croissante dans de nombreux secteurs. Ses applications soulèvent toutefois d'importantes questions éthiques, qu'il s'agisse de la propagation de la désinformation, de son impact sur l'emploi ou des risques de perte de contrôle.
Dans un message vidéo diffusé lors de la cérémonie d'ouverture de la conférence organisée samedi 26 juillet à Shanghai, le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a estimé que la gouvernance de l'IA constituerait "un test décisif pour la coopération internationale".
AFP/VNA/CVN