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| Dans le pré du Centre d’étude et de développement de l’élevage de montagne. |
| Photo : Tin tuc/CVN |
Le Centre d’étude et de développement de l’élevage de montagne soigne plus de 120 chevaux de différences races : Kabardin, Kabardin croisés avec des chevaux vietnamiens, petits chevaux chinois, grands chevaux de course...
Les Kabardins sont les plus nombreux. Importés de Russie en 1964, ils sont plus forts que les races locales. Ils sont utilisés pour transporter des marchandises et tirer des charrettes.
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| Les Kabardins sont plus forts que les races locales. |
Le cheval de compétition est le fruit d’un croisement entre un Kabardin et un cheval allemand. Grand, avec de longues pattes, il peut galoper à 40 km/h.
Chaque jour, le centre a besoin d’une dizaine de tonne d’herbes. Un cheval adulte peut manger environ 50 kg d’aliment. Les chevaux demandent plus de soin que les bœufs et buffles car leur système digestif est fragile.
«Je suis responsable d’environ 40 chevaux. Le matin, avant de les mener au pré, je dois examiner leur santé et ensuite préparer les aliments, nettoyer les écuries...», confie Nguyên Thi Tâm, palefrenière.
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| Un cheval de course. |
Selon Trân Van Cu, ouvrier expérimenté, «les soins doivent être consciencieux. Les chevaux sont plus intelligents que les autres animaux de ferme. Ils savent exprimer les sentiments. Chacun a son caractère, bon ou mauvais».
Aujourd’hui, cette ferme est non seulement un centre de conservation et de développement des races chevalines mais aussi une destination touristique de la province de Thai Nguyên. Chaque année, elle reçoit environ 10.000 visiteurs. Selon Nguyên Thi Hai, responsable du centre, «beaucoup de personnes le considèrent comme un paradis !».
Hai Vu/CVN