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Le Festival de Huê 2018 présente au public une série d'activités festives |
Photo: Hà Thu/CVN |
Les spectateurs ont pu s'imprégner les numéros de chiêng (instrument plat, pas de poignées) et de flute, les deux instruments musicaux spéciaux du Tây Nguyên, interprétés par la troupe artistique ethnique de Dak Lak. À travers la musique, les danses, les artistes souhaitent témoigner des aspirations de l’homme de dominer la nature et également présenter aux spectateurs les fêtes connues des ethnies comme la fête de saison, la fête de quai fluvial…
La troupe artistique ethnique de Dak Lak a été créée en avril 1962 dans le but d’étudier, de conserver des danses et chansons ethniques traditionnels et de les présenter au public.
Le même jour, au palais d’An Dinh, des spectateurs ont pu profiter d'une soirée de rock de la troupe française Lysistrata. Dans leur premier album The Thread, les rockers français ont partagé leur vision de la vie, de la mort, des inquiétudes, des soucis...
À la différence des français, la troupe musicale marocaine Majid Bekkas a apporté aux oreilles des spectateurs vietnamiens une forme de musique originale mixant musique traditionnelle de la région de Gnaoua, le blues et le jazz.
Pour leur part, les artistes mongols ont apporté de longs poèmes (reconnus par l’UNESCO en tant que patrimoine mondial de l'humanité) et des danses folklorique traditionnels, permettant ainsi aux spectateurs de mieux comprendre la vie nomade, l’homme et la beauté de la nature sauvage de Mongolie. C’est la première fois que ce pays participe au Festival de Huê.