>>Crash d'un Antonov près de Moscou : la boîte noire retrouvée
>>Rex Tillerson au Caire entame une tournée au Moyen Orient
>>Pyongyang appelle à une amélioration des relations inter-coréennes
Le président américain Donald Trump (gauche) et son homologue russe Vladimir Poutine |
Dans un communiqué publié par la Maison Blanche, M. Trump a exprimé ses condoléances après le crash dimanche 11 février d'un An-148 de la compagnie aérienne Saratov Airlines, disant que Washington était prêt à aider les autorités russes dans leur enquête.
L'avion de ligne s'est écrasé peu après avoir décollé de Moscou, tuant les 65 passagers et six membres d'équipage à bord. S'agissant du processus de paix israélo-palestinien, M. Poutine a noté qu'il rencontrerait le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas plus tard le même jour.
En réponse, M. Trump a affirmé que c'était désormais le moment de travailler à un accord de paix durable.
L'administration Trump avait annoncé en décembre dernier sa reconnaissance de Jérusalem comme la capitale d'Israël et le transfert de son ambassade de Tel Aviv à Jérusalem, que les Palestiniens revendiquent également comme leur capitale.
Washington a ensuite suspendu la moitié de ses fonds pour les réfugiés palestiniens dans le but de forcer ces derniers à discuter d'un plan de paix négocié sous l'égide des États-Unis. Ce que les Palestiniens ont refusé.
Lors de leur conversation téléphonique lundi 12 février, MM. Trump et Poutine ont discuté d'autres sujets d'intérêt commun, dont la dénucléarisation de la péninsule coréenne.
La Maison Blanche a déclaré que M. Trump avait réitéré l'importance de prendre des mesures supplémentaires.