>>Le travail de sensibilisation auprès des Vietnamiens à l'étranger s'améliore
>>La grande distribution au service des exportations vietnamiennes
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| La plupart de prêt-à-porter du supermarché Lucky provient d’ateliers de Vietnamiens en Russie. |
La ville de Krasnodar, au Sud de la Russie, est le théâtre des supermarchés Lucky de la famille de Trân Quôc Ngon et Trân Quôc Triêu. Il y a dix 10 ans, Lucky était l’un des stands spécialisés dans le prêt-à-porter. Aujourd’hui, c’est une chaîne d’une soixantaine de magasins d’une superficie de 1.000 m², sans compter une centaine de petites boutiques à Krasnodar et les provinces voisines.
Les produits sont variés et satisfaisant les besoins d’une population aux revenus moyens, originaires de Chine et de Turquie, et d’ateliers de Vietnamiens en Russie pour le prêt-à-porter.
Quelque 12 milliards de dollars
d’échanges commerciaux en 2020
Selon les économistes, les exportations vietnamiennes vers l’UEEA devraient augmenter de 20% après l’entrée en vigueur de cet accord. En 2020, les échanges commerciaux entre le Vietnam et l’UEEA devraient atteindre 12 milliards de dollars, contre 4 milliards de dollars en 2014.
D’après Rita Tatulian, gestionnaire d’un magasin dans la ville de GoriatchiKlioutch, à une quarantaine de kilomètres au sud de Krasnodar, de plus en plus marchandises vietnamiennes seront commercialisées.
Trân Quôc Ngon affirme que la qualité des produits de Lucky est une priorité de premier rang. «Les Russes sont exigeants. Ils demandent des produits de qualité à un prix raisonnable», explique-t-il.
Cherry, un label connu
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| Les superettes Cherry sont essentiellement dans les quartiers résidentiels à Krasnodar. |
Dans cette ville russe, la dizaine de superettes Cherry de la famille de Trân Quôc Triêu est devenue familière aux habitants des quartiers résidentiels.
Nguyên Thi Minh Huong, responsable d’un magasin, indique qu’après plus d’un mois d’ouverture, cette boutique a de plus en plus de clients et que son chiffre d’affaires ne cesse d’augmenter.
Olga Zalizna, gestionnaire de la chaîne Cherry, précise que la première boutique a été inaugurée en janvier. «Nous ouvrons en moyenne un nouveau magasin par mois. Nous visons une clientèle de classe moyenne», explique-t-elle.
Mme Zalizna confirme qu’avec ses gammes de prix raisonnables, Cherry est capable de concurrencer la chaîne russe Magnit.
Hoàng Phuong/CVN