Les financements proviennent d'une quarantaine d'organisations gouvernementales, non gouvernementales, et internationales.
Plusieurs projets de restauration des vestiges de Huê ont été achevés grâces à des aides internationales comme Ngo Môn (Porte du Midi), les stèles de Van Miêu-Quôc Tu Giam, le théâtre royal Duyêt Thi Duong, la Porte Quang Duc, le tombeau de Minh Mang, Thê Miêu (Temple dynastique)...
De nombreux engagements de coopération scientifique et de formation entre cet établissement et les organisations et universités étrangères en faveur de la restauration des sites de Huê ont été signés.
On peut citer par exemple la convention de coopération dudit centre avec l'Université de Showa (Japon), spécialisée dans la recherche sur les habitations traditionnelles de Huê, celle avec l'Université de Waseda (Japon) pour restaurer le Palais d'Audience (Diên Cân Chanh), où avaient travaillé les rois de la dynastie des Nguyên, ou encore avec le Musée royal d'Histoire d'Autriche dans l'exposition des objets...
En outre, de nombreux projets bénéficiant d'un grand investissement sont en cours tels le projet de préservation et de valorisation de nha nhac (musique de Cour), d'un coût total de 344.000 dollars dont le financement international représente 155.000 dollars.
Le Centre de préservation des vestiges de l'ancienne Cité impériale de Huê déploie à l'heure actuelle le projet de recherche, de formation et de préservation des sites de Huê qui coûte 4.156.710 dollars dont 3.706.810 dollars financés par l'Université japonaise de Waseda. Un autre projet porte sur la restauration du Palais An Dinh et la formation technique est financé à hauteur de 355.000 euros par les aides allemandes sur un total de 444.810 euros. Le Palais An Dinh, au style néo-classique, a été construit en 1918-1919, sous le règne du roi Khai Dinh (dynastie des Nguyên, 1802-1945).
Van Xa/CVN