>>Washington menace de revoir sa position vis-à-vis d'Israël à l'ONU
>>Israël : l'UE veut une relance du processus de paix et une "solution à deux États"
Après avoir provoqué l'une des plus graves crises depuis longtemps avec l'administration américaine en enterrant pendant la campagne électorale l'idée d'un État palestinien s'il conservait son poste, M. Netanyahu a adopté vis-à-vis des Palestiniens un langage de principe mêlant bonne volonté et fermeté.
"Notre main est tendue en signe de paix vers nos voisins palestiniens et le peuple d'Israël sait que la paix véritable, ainsi que notre avenir, ne seront assurés que si Israël est fort", a-t-il dit devant la presse au moment où le président lui confiait la tâche de former le nouveau gouvernement.
Le discours de M. Netanyahu a clairement énoncé les défis immédiats de son futur gouvernement : les menaces sécuritaires, les relations avec les États-Unis, le nucléaire iranien, le conflit israélo-palestinien, les disparités sociales.
M. Rivlin a, lui, fait figurer les relations capitales avec les États-Unis en haut de la feuille de route qu'il a détaillée.
"Nous préserverons notre alliance avec le meilleur de nos amis, les États-Unis, mais nous continuerons à agir pour stopper l'accord qui se profile avec l'Iran et qui nous menace, nous, nos voisins et le monde entier", a dit M. Netanyahu.
Les discussions formelles pour un nouveau gouvernement israélien devraient commencer jeudi 25 mars. M. Netanyahu, 65 ans, aura 28 jours, éventuellement renouvelables 14 jours, pour constituer son gouvernement.
Il faudra à M. Netanyahu concilier les exigences des membres de son parti Likoud, des partis nationalistes Foyer juif et Israël Beiteinou, des formations ultra-orthodoxes Shass et Liste Unifiée de la Torah et du parti de centre droit Koulanou.
Les plus gros portefeuilles, la Défense, les Finances et les Affaires étrangères, sont très convoités. Seul les Finances semblent assurées d'échoir à Moshe Kahlon, ancien du Likoud et chef de Koulanou.
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Après avoir provoqué l'une des plus graves crises depuis longtemps avec l'administration américaine en enterrant pendant la campagne électorale l'idée d'un État palestinien s'il conservait son poste, M. Netanyahu a adopté vis-à-vis des Palestiniens un langage de principe mêlant bonne volonté et fermeté.
"Notre main est tendue en signe de paix vers nos voisins palestiniens et le peuple d'Israël sait que la paix véritable, ainsi que notre avenir, ne seront assurés que si Israël est fort", a-t-il dit devant la presse au moment où le président lui confiait la tâche de former le nouveau gouvernement.
Benjamin Netanyahu fait un discours après avoir été officiellement chargé de former un nouveau gouvernement israélien, le 25 mars à Jérusalem. Photo : AFP/VNA/CVN |
Le discours de M. Netanyahu a clairement énoncé les défis immédiats de son futur gouvernement : les menaces sécuritaires, les relations avec les États-Unis, le nucléaire iranien, le conflit israélo-palestinien, les disparités sociales.
M. Rivlin a, lui, fait figurer les relations capitales avec les États-Unis en haut de la feuille de route qu'il a détaillée.
"Nous préserverons notre alliance avec le meilleur de nos amis, les États-Unis, mais nous continuerons à agir pour stopper l'accord qui se profile avec l'Iran et qui nous menace, nous, nos voisins et le monde entier", a dit M. Netanyahu.
Les discussions formelles pour un nouveau gouvernement israélien devraient commencer jeudi 25 mars. M. Netanyahu, 65 ans, aura 28 jours, éventuellement renouvelables 14 jours, pour constituer son gouvernement.
Il faudra à M. Netanyahu concilier les exigences des membres de son parti Likoud, des partis nationalistes Foyer juif et Israël Beiteinou, des formations ultra-orthodoxes Shass et Liste Unifiée de la Torah et du parti de centre droit Koulanou.
Les plus gros portefeuilles, la Défense, les Finances et les Affaires étrangères, sont très convoités. Seul les Finances semblent assurées d'échoir à Moshe Kahlon, ancien du Likoud et chef de Koulanou.
AFP/VNA/CVN