Mascottes olympiques : quand la faune fait recette

La première mascotte olympique était grenobloise pour les JO d'hiver de 1968. Depuis, chaque édition des JO d'été ou d'hiver a sa mascotte et c'est souvent une figure animale qui sans surprise devient la peluche officielle.

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Les mascottes des JO-2020.
Photo : AFP/VNA/CVN

Pour les JO de Tokyo, qui ont finalement eu lieu à l'été 2021, la mascotte, une version bleu indigo pour le garçon et une version rose pour la fille, avait des allures de personnages de manga.

Quelques mois plus tard, c'est un panda qui a accompagné les festivités des JO d'hiver de Pékin en 2022. En plein retour de COVID, la mascotte a même été en rupture de stock.

D'après des chiffres donnés par le comité d'organisation des JO de Paris (Cojo), les mascottes sont à 65% des animaux et majoritairement des ours. Ce qui a été le cas aux JO d'hiver de Sotchi (Russie) avec un ours polaire, aussi accompagné d'un lièvre et d'un léopard.

Un ours était déjà là à Moscou en 1980. C'est un tigre qui avait été choisi comme mascotte des JO de Séoul en 1988 et un castor à Montréal en 1976.

Chaque mascotte a son petit nom, ainsi à Londres en 2012, elle s'appelait "Wenlock".

La première mascotte des JO d'été a été celle des tragiques JO de Munich en 1972 et représentait un teckel coloré.

AFP/VNA/CVN

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