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Le président français Emmanuel Macron, le 7 juin, à Paris. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
La coalition du président Emmanuel Macron cherche à obtenir une majorité à l'Assemblée nationale, soit 289 députés, pour pouvoir appliquer son programme sans avoir à négocier avec les autres formations politiques.
De son côté, la NUPES (Nouvelle Union populaire, écologique et sociale), l'alliance des oppositions réunies autour de Jean-Luc Mélenchon, qui regroupe les candidats de la France insoumise, du Parti socialiste, du Parti communiste français et d'Europe-Écologie-Les Verts, appelle les Français à imposer une "cohabitation" au chef de l'État.
Un candidat aux élections législatives devient député au nom de sa formation politique s'il obtient 50% des suffrages exprimés représentant au moins 25% des inscrits dans sa circonscription. Si aucun candidat ne remplit ces conditions, les candidats qui réunissent au moins 12,5% des inscrits peuvent participer au second tour le 19 juin.
Depuis 2002, éclipsées par l'élection présidentielle qui précède de quelques semaines, les élections législatives souffrent d'un désintérêt croissant des Français. En 2017, lors du premier tour des élections législatives, l'abstention avait atteint 51,30%.