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Dans un supermarché à Washington D.C, aux États-Unis. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
"Bien que le pire du COVID soit derrière nous, les défis économiques auxquels nous sommes confrontés ne sont pas moins considérables", a ainsi averti Jane Fraser, à la tête de Citigroup, devant une commission de la Chambre des représentants.
"L'impact de la remontée des taux d'intérêt, nécessaire pour essayer de maîtriser l'inflation, est susceptible de modérer la croissance en Amérique et dans le monde", a-t-elle affirmé tout en admettant qu'il était "encore tôt" pour connaître ses réelles conséquences.
Pour Jamie Dimon, le patron de JPMorgan Chase, le consommateur "est encore plutôt en bonne forme" financière, avec des dépenses en hausse, un faible niveau d'endettement et un marché de l'emploi dynamique.
Mais ces bonnes nouvelles "font face à des forces dont nous ne connaissons pas l'impact complet", a-t-il ajouté en citant le conflit en Ukraine, la hausse du pétrole, l'inflation et la hausse des taux d'intérêt.
APS/VNA/CVN