>>L'OIF se mobilise pour le développement du numérique en Afrique
La secrétaire générale Louise Mushikiwabo (2e à gauche) en compagnie des différents acteurs de la Francophonie, le 13 février à Paris. |
Le Conseil de coopération a réuni, les 13 février 2020 à Paris, autour de la secrétaire générale de la Francophonie, Louise Mushikiwabo, les différents acteurs de la Francophonie : l’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF), l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF), TV5Monde, l’Université Senghor, l’Association internationale des maires francophones (AIMF), la Conférence des ministres de l’Éducation des États et gouvernements membres de la Francophonie (CONFEMEN) et la Conférence des ministres de la Jeunesse et des Sports de la Francophonie (CONFEJES).
L’enjeu de l’éducation en français
Au cours de ce Conseil de coopération, les participants se sont accordés pour travailler ensemble, de façon coordonnée, face à l’enjeu de la qualité de l’éducation en français dans le monde. Des actions prioritaires ont été définies en matière de formation des professeurs et de mobilité des enseignants au sein de l’espace francophone, ainsi qu’en faveur de l’éducation des filles.
La secrétaire générale Louise Mushikiwabo a souhaité parvenir à une "alliance francophone pour l’éducation". Les discussions ont également porté sur l’égalité entre les femmes et les hommes, ce qui devrait conduire à des actions communes en faveur du leadership féminin, comme le prévoit la Stratégie pour l’égalité adoptée au Sommet de la Francophonie d’Erevan en 2018. Un chantier d’actions communes a enfin été ouvert autour du thème des enjeux du numérique.
OIF/CVN