COVID-19
Le point sur la pandémie dans le monde

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>>Le Danemark suspend le vaccin AstraZeneca

>>Après un an de pandémie, la riposte s'organise mais le chemin paraît encore long

Des personnes attendent pour se faire vacciner contre le COVID-19, le 11 mars à Schwaz, en Autriche.
Photo : AFP/VNA/CVN

Le Danemark, l'Islande et la Norvège ont suspendu les injections du vaccin AstraZeneca, en raison de craintes liées à la formation de caillots sanguins chez des personnes vaccinées.

Inquiétudes sur le vaccin AstraZeneca 

L'Agence européenne de médicaments (AEM) assure que le vaccin est sûr. "Il n'y a actuellement aucune indication selon laquelle la vaccination a provoqué ces conditions qui ne sont pas répertoriées comme effets secondaires de ce vaccin".
L'AEM n'a répertorié que trente cas de "thromboembolies" sur cinq millions de personnes vaccinées.
UE : feu vert au vaccin Johnson & Johnson 
L'Union européenne a donné son feu vert au vaccin à injection unique, le premier de ce type, de l'Américain Johnson & Johnson.
Considéré comme plus simple à stocker, il semble moins efficace que ceux de Pfizer et Moderna, efficaces à 95% contre tous les variants.
L'UE étend ses contrôles à l'export 
La Commission européenne étend jusqu'à fin juin ses contrôles des exportations de vaccins anti-COVID, alors que toute l'UE souffre des retards de livraisons du laboratoire AstraZeneca.
Déconfinement progressif au Portugal 
Le Portugal présentait jeudi 11 mars un plan de déconfinement progressif, près de deux mois après le début d'un confinement généralisé après une violente troisième vague.

Une dose du vaccin AstraZeneca, le 12 février à Stuttgart, en Allemagne.
Photo : AFP/VNA/CVN

Pour le moment, seules 297.000 personnes ont reçu les deux doses du vaccin, soit à peine 3% de la population.
... et à Mayotte (France) 
Les restrictions à Mayotte seront levées de façon progressive à partir du 15 mars, après cinq semaines de confinement dans cette île française de l'Océan indien.
Avec un pic de 930 cas pour 100.000 habitants, la seconde vague du COVID-19 a été particulièrement sévère à Mayotte, qui dispose de ressources hospitalières limitées.
La pandémie maltraite aussi l'enfance (UNICEF)
Ecoles fermées, pauvreté et mariages forcés en hausse, dépressions : après un an de pandémie, les indicateurs mesurant le développement des enfants et adolescents ont presque tous "régressé", au risque de séquelles durables pour toute une génération, a alerté l'UNICEF.
Six à sept millions d'enfants supplémentaires pourraient être atteints de malnutrition ou d'émaciation en 2020 (+14%), ce qui pourrait se traduire par 10.000 morts supplémentaires par mois, essentiellement en Afrique sub-saharienne et en Asie du Sud.
Foule de pélerins dans le Gange 
Des centaines de milliers de pèlerins indiens et les saisissantes processions d'ermites sadhous affluaient jeudi 11 mars pour se baigner dans le fleuve sacré du Gange à l'occasion d'une importante fête hindoue, malgré la menace toujours élevée du COVID-19.
Les autorités de Haridwar, dans l'
État de l'Uttarakhand (Nord), attendent 2,5 millions de personnes.

Une Cambodgienne se fait vacciner contre le COVID-19 à Phnom Penh, le 2 mars.
Photo : Xinhua/VNA/CVN

Premier mort au Cambodge 
Le Cambodge a enregistré son tout premier décès du coronavirus alors que le pays est plein pic épidémique.
Le royaume a largement échappé à la pandémie n'enregistrant que 1.163 cas depuis un an mais un cluster a récemment fait son apparition parmi la communauté chinois expatriée.
Plus de 2,6 millions de morts 
La pandémie a fait au moins 2.621.295 morts dans le monde depuis fin décembre 2019, selon un bilan établi jeudi 11 mars par l'AFP à partir de sources officielles.
Les États-Unis sont le pays comptant le plus de morts avec 529.263 décès, suivis par le Brésil (270.656), le Mexique (192.488), l'Inde (158.189), et le Royaume-Uni (124.987).
Ces chiffres, qui reposent sur les bilans quotidiens des autorités sanitaires sans inclure les réévaluations fondées sur des bases statistiques, sont globalement sous-évalués.
France : vers des transferts de patients 
Les autorités sanitaires françaises se préparent à transférer "des dizaines, voire des centaines" de patients atteints de COVID-19 de région parisienne vers d'autres régions, en raison de la situation particulièrement tendue dans les hôpitaux locaux, a annoncé le ministre de la Santé, Olivier Véran.

AFP/VNA/CVN

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