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>>Des milliers de Palestiniens aux funérailles du père du bébé brûlé vif
Cette visite officielle s’annonce délicate sur le plan diplomatique alors que s'accentuent les pressions des militants pro-palestiniens et de la campagne BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanction) sur les entreprises étrangères, associées à des projets israéliens dans les Territoires palestiniens occupés.
En juin, le groupe français de téléphonie Orange avait été vivement critiqué en Israël après avoir annoncé le retrait de sa marque du pays, interprété comme une volonté de céder aux appels au boycottage d'Israël. Son Pdg, Stéphane Richard, avait dû pour désamorcer la polémique aller exprimer des regrets auprès du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
En avril, avec 15 autres pays de l'Union européenne, la France avait appelé à appliquer pleinement la législation concernant l’étiquetage des produits fabriqués dans les colonies de Cisjordanie, de Jérusalem-est et du plateau du Golan occupés depuis 1967, une mesure jugée "discriminatoire" par l'État hébreu.
M. Macron, également ministre de l'Industrie et du Numérique, doit s'exprimer à Tel-Aviv au Festival de l'innovation et du numérique, point de convergence annuel des start-ups israéliennes et des investisseurs mondiaux auquel 150 entreprises françaises doivent participer.
Une cinquantaine de dirigeants d'entreprises, d'institutions ou de grandes écoles accompagnent M. Macron lors de cette visite qui vise en partie à dynamiser les partenariats avec la "start-up nation", surnom d'Israël, deuxième pôle d’innovation au monde derrière la Silicon Valley américaine.
M. Macron rencontrera les ministres israéliens de l'Économie, Aryé Deri, et de l'Énergie, Yuval Steinitz, et visitera des incubateurs et entreprises locales.
En Cisjordanie, il sera reçu le 7 septembre à Ramallah par le président palestinien Mahmoud Abbas et inaugurera la zone industrielle de Bethléem.
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Le ministre français de l'Économie, Emmanuel Macron, le 27 août 2015 à JOuy-en-Josas. Photo : AFP/VNA/CVN |
Cette visite officielle s’annonce délicate sur le plan diplomatique alors que s'accentuent les pressions des militants pro-palestiniens et de la campagne BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanction) sur les entreprises étrangères, associées à des projets israéliens dans les Territoires palestiniens occupés.
En juin, le groupe français de téléphonie Orange avait été vivement critiqué en Israël après avoir annoncé le retrait de sa marque du pays, interprété comme une volonté de céder aux appels au boycottage d'Israël. Son Pdg, Stéphane Richard, avait dû pour désamorcer la polémique aller exprimer des regrets auprès du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
En avril, avec 15 autres pays de l'Union européenne, la France avait appelé à appliquer pleinement la législation concernant l’étiquetage des produits fabriqués dans les colonies de Cisjordanie, de Jérusalem-est et du plateau du Golan occupés depuis 1967, une mesure jugée "discriminatoire" par l'État hébreu.
M. Macron, également ministre de l'Industrie et du Numérique, doit s'exprimer à Tel-Aviv au Festival de l'innovation et du numérique, point de convergence annuel des start-ups israéliennes et des investisseurs mondiaux auquel 150 entreprises françaises doivent participer.
Une cinquantaine de dirigeants d'entreprises, d'institutions ou de grandes écoles accompagnent M. Macron lors de cette visite qui vise en partie à dynamiser les partenariats avec la "start-up nation", surnom d'Israël, deuxième pôle d’innovation au monde derrière la Silicon Valley américaine.
M. Macron rencontrera les ministres israéliens de l'Économie, Aryé Deri, et de l'Énergie, Yuval Steinitz, et visitera des incubateurs et entreprises locales.
En Cisjordanie, il sera reçu le 7 septembre à Ramallah par le président palestinien Mahmoud Abbas et inaugurera la zone industrielle de Bethléem.
AFP/VNA/CVN