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Le président vénézuélien Nicolas Maduro (droite) et les soldats des Forces armées nationales bolivariennes du Venezuela (FANB), le 4 mai. |
Photo: AFP/VNA/CVN |
"Ce n'est pas une guerre que nous voulons au Venezuela", a affirmé le ministre des Affaires étrangères du Venezuela, Jorge Arreaza, lors d'une réunion à La Havane du conseil politique de l'Alliance bolivarienne pour les peuples de notre Amérique (Alba).
"Nous sommes peut-être en train de nous préparer (à une guerre) car les circonstances nous y obligent (...) mais nous voulons la paix". "Que l'on transmette depuis l'Alba au gouvernement des États-Unis le fait que nous voulons le dialogue, que nous voulons la diplomatie, que nous voulons l'entente, y compris avec eux, avec toutes nos différences", a-t-il souligné.
La crise politique au Venezuela s’est aggravée depuis le 23 janvier, lorsque Juan Guaido, dirigeant de l’opposition et président du parlement, s’est autoproclamé président par intérim lors d’un rassemblement dans la capitale, Caracas.
La Russie, la Biélorussie, la Bolivie, l'Iran, Cuba, le Nicaragua, El Salvador, la Syrie et la Turquie ont exprimé leur soutien au président Maduro, qui demeure le président légitime du Venezuela.
APS/VNA/CVN