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Le siège de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) à Vienne. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
Selon un communiqué du SNSC cité par l'agence de presse Tasnim, "la loi susmentionnée ne crée pas de problème spécifique qui porte atteinte aux intérêts nationaux", ajoutant que ce qui est contraire aux intérêts nationaux et préoccupant, ce sont les controverses qui "portent atteinte à la dignité et au statut des institutions juridiques du pays et minent l'unité et la cohésion nationales".
Le SNSC a en conséquence appelé toutes les parties internes iraniennes à mettre fin aux "querelles infructueuses" et a averti qu'il ne permettrait pas que les intérêts nationaux soient mis en danger par des "jeux politiques", soulignant dans le même temps que son secrétariat n'avait pas participé à l'élaboration de la loi.
Toutes les procédures, a ajouté le SNSC, se sont déroulées conformément aux règlements du parlement et aux normes coutumières.
Mardi 1er décembre, le parlement iranien a adopté le projet de loi, qui exhorte l'administration du président Hassan Rohani à prendre plusieurs mesures pour accroître les activités nucléaires de l'Iran à des fins civiles et pourrait réduire la surveillance internationale de ces activités par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).
La loi demande au gouvernement d'interrompre la mise en œuvre volontaire du document du Protocole additionnel dans deux mois, au cas où les États signataires de l'accord historique sur le nucléaire de 2015 ne "normalisent pas les relations bancaires et ne suppriment pas complètement les barrières à l'exportation du pétrole iranien".
Xinhua/VNA/CVN