>>Sixième cas mortel de coronavirus Mers en Corée du Sud
>>Le ministère de la Santé publie son plan anti-MERS-CoV au Vietnam
Le dernier décès concerne une femme de 68 ans entrée en contact avec un patient à l'hôpital de Séoul les 27 et 28 mai, a indiqué le ministère sud-coréen de la Santé.
Il y a deux semaines, les autorités n'avaient recensé que quatre cas de contamination.
Le dernier décès en date concerne un octogénaire diagnostiqué à Daejeon, à 140 km au sud de Séoul, selon le ministère de la Santé.
L'épidémie de coronavirus Mers, un virus plus mortifère mais moins contagieux que celui du Sras ou Syndrome respiratoire aigu sévère (près de 800 morts dans le monde en 2003), provoque l'inquiétude générale en Corée du Sud.
Environ 2.500 personnes ont été placées en quarantaine, chez elles ou à l'hôpital, tandis que près de 2.000 écoles, pour la plupart situées à Séoul et dans la province voisine de Gyeonggi, ont fermé leurs portes.
Le premier cas avéré de coronavirus Mers avait été constaté le 20 mai chez un patient de retour du Moyen-Orient.
Les autorités sud-coréennes, accusées d'avoir tardé à prendre des mesures pour identifier les porteurs potentiels après le diagnostic du premier infecté, ont promis dimanche 7 juin une campagne "tous azimuts" pour limiter la propagation de l'épidémie.
Les autorités sud-coréennes ont aussi été critiquées pour n'avoir pas empêché un porteur probable de se rendre en Chine.
Elles ont annoncé en particulier qu'elles allaient surveiller les mouvements des personnes placées en quarantaine chez elles par l'intermédiaire de leur téléphone portable.
Une équipe de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) est arrivée à Séoul le 8 juin pour prêter main forte aux autorités sanitaires.
Plus de 20 pays ont été touchés par le virus, pour lequel il n'existe aucun vaccin ou traitement. En Arabie saoudite, plus de 950 personnes ont été contaminées depuis 2012 et 412 sont décédées.
>>Le ministère de la Santé publie son plan anti-MERS-CoV au Vietnam
Le dernier décès concerne une femme de 68 ans entrée en contact avec un patient à l'hôpital de Séoul les 27 et 28 mai, a indiqué le ministère sud-coréen de la Santé.
Il y a deux semaines, les autorités n'avaient recensé que quatre cas de contamination.
Les autorités sud-coréennes ont promis une campagne "tous azimuts" pour limiter la propagation de l'épidémie. Photo : AFP/VNA/CVN |
Le dernier décès en date concerne un octogénaire diagnostiqué à Daejeon, à 140 km au sud de Séoul, selon le ministère de la Santé.
L'épidémie de coronavirus Mers, un virus plus mortifère mais moins contagieux que celui du Sras ou Syndrome respiratoire aigu sévère (près de 800 morts dans le monde en 2003), provoque l'inquiétude générale en Corée du Sud.
Environ 2.500 personnes ont été placées en quarantaine, chez elles ou à l'hôpital, tandis que près de 2.000 écoles, pour la plupart situées à Séoul et dans la province voisine de Gyeonggi, ont fermé leurs portes.
Le premier cas avéré de coronavirus Mers avait été constaté le 20 mai chez un patient de retour du Moyen-Orient.
Les autorités sud-coréennes, accusées d'avoir tardé à prendre des mesures pour identifier les porteurs potentiels après le diagnostic du premier infecté, ont promis dimanche 7 juin une campagne "tous azimuts" pour limiter la propagation de l'épidémie.
Les autorités sud-coréennes ont aussi été critiquées pour n'avoir pas empêché un porteur probable de se rendre en Chine.
Elles ont annoncé en particulier qu'elles allaient surveiller les mouvements des personnes placées en quarantaine chez elles par l'intermédiaire de leur téléphone portable.
Une équipe de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) est arrivée à Séoul le 8 juin pour prêter main forte aux autorités sanitaires.
Plus de 20 pays ont été touchés par le virus, pour lequel il n'existe aucun vaccin ou traitement. En Arabie saoudite, plus de 950 personnes ont été contaminées depuis 2012 et 412 sont décédées.
AFP/VNA/CVN