Si elle est considérée par 84% des Européens comme "la meilleure solution d'avenir pour protéger l'environnement", près d'un sur deux (49%) n'envisage aucun effort financier pour acheter une voiture électrique.
Seul un Européen sur trois se dit prêt, en revanche, à payer ce type de véhicule 10% plus cher que son équivalent thermique.
L'étude révèle que c'est en France que l'intérêt pour cette technologie est le moins fort (54%) et que, parmi les Français intéressés, moins d'un sur deux (43%) se déclare disposé à se porter acquéreur d'un tel véhicule.
L'autonomie des batteries est "un point problématique", selon l'étude qui met en évidence un paradoxe : alors que 82% des Européens effectuent moins de 100 km par jour, 55% n'envisagent pas l'achat d'un véhicule électrique dont l'autonomie serait inférieure à 250 km.
L'étude a été menée durant l'automne 2011 auprès d'un échantillon représentatif de 6.000 personnes dans dix pays : Allemagne, Espagne, France, Italie, Portugal, Grande-Bretagne, Belgique, Pologne, Russie et Turquie.
AFP/VNA/CVN