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| Les délégations russe (droite) et ukrainienne lors de leur 3e session de pourparlers de paix, le 7 mars à Belovezhskaya Pushcha, à la frontière entre le Bélarus et la Pologne. |
| Photo : AFP/VNA/CVN |
"Les discussions se sont poursuivies sur divers aspects politiques et militaires. Mais cela reste difficile. Il est trop tôt pour parler de progrès", a déclaré à l'issue de la rencontre l'assistant présidentiel russe Vladimir Medinsky, qui est également chef de la délégation de négociation russe.
Les négociateurs russes ont apporté un grand nombre de documents, y compris des accords spécifiques, mais la partie ukrainienne n'a pas pu les signer sur place, et a ramené les documents avec elle pour les étudier, a-t-il indiqué aux journalistes.
"Pour être honnête, nos attentes à l'égard de ces pourparlers n'ont pas été satisfaites. Mais nous espérons que nous pourrons accomplir une avancée plus significative la prochaine fois", a noté M. Medinsky, après la rencontre qui s'est tenue pendant près de trois heures à Belovezhskaya Pushcha, à la frontière entre le Bélarus et la Pologne.
Les deux parties ont abordé la question de l'évacuation des civils, et la partie ukrainienne a assuré à la Russie que les couloirs humanitaires commenceraient à fonctionner mardi 8 mars, a-t-il affirmé.
"Il y a eu des progrès concernant l'amélioration de la logistique des couloirs humanitaires", a indiqué sur Twitter après les négociations Mykhailo Podoliak, conseiller du chef du Bureau de la présidence ukrainienne.
"Aujourd'hui, il n'y a pas eu de résultats susceptibles d'améliorer significativement la situation. Néanmoins, je souligne une fois de plus que les consultations vont se poursuivre", a déclaré M. Podoliak dans un message vidéo publié sur Twitter.