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"Il est vital que toutes les parties travaillent avec l'AIEA pour établir un cadre approprié qui garantira le fonctionnement sûr, sécurisé et fiable des centrales nucléaires ukrainiennes", a-t-elle dit lors d'un briefing au Conseil de sécurité. Pour Mme DiCarlo, un passage urgent et sûr devrait être accordé au personnel de l'AIEA s'il devait se rendre en Ukraine pour y travailler avec les régulateurs.
Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a suivi avec beaucoup d'inquiétude les informations faisant état de "violents combats" autour de la centrale de Zaporijia.
"Il semblerait que l'incendie ait touché un site de formation et non le système de refroidissement ou le centre de production d'énergie", a-t-elle précisé. Un incendie, qui a été éteint, s'est déclaré vendredi 4 mars dans ce bâtiment à l'extérieur de la centrale.
"La catastrophe de Tchernobyl en 1986 est un exemple durable de la raison pour laquelle il est vital de s'assurer que toutes les centrales nucléaires disposent des normes de sûreté et de sécurité les plus élevées", a souligné Rosemary DiCarlo. "Les Nations unies espèrent que l'accord annoncé sur l'établissement de couloirs humanitaires sera mis en œuvre sans délai et qu'un cessez-le-feu complet et inconditionnel sera rapidement convenu et promulgué", a-t-elle ajouté.
À l'issue de la deuxième session de négociations entre délégations russe et ukrainienne, les deux parties se sont mises d'accord jeudi soir 3 mars sur l'établissement d'un couloir humanitaire pour la sortie des civils et sur une cessation temporaire des hostilités le long des voies d'évacuation, a annoncé le chef de la délégation russe Vladimir Medinski.
"Seules la diplomatie et les négociations peuvent permettre de trouver une solution réellement durable au conflit actuel. Les combats en Ukraine doivent cesser. Et ils doivent cesser maintenant", a conclu Rosemary DiCarlo.
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| La réunion du Conseil de sécurité sur la situation en Ukraine à New York, le 28 févier. Photo : AFP/VNA/CVN |
"Il est vital que toutes les parties travaillent avec l'AIEA pour établir un cadre approprié qui garantira le fonctionnement sûr, sécurisé et fiable des centrales nucléaires ukrainiennes", a-t-elle dit lors d'un briefing au Conseil de sécurité. Pour Mme DiCarlo, un passage urgent et sûr devrait être accordé au personnel de l'AIEA s'il devait se rendre en Ukraine pour y travailler avec les régulateurs.
Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a suivi avec beaucoup d'inquiétude les informations faisant état de "violents combats" autour de la centrale de Zaporijia.
"Il semblerait que l'incendie ait touché un site de formation et non le système de refroidissement ou le centre de production d'énergie", a-t-elle précisé. Un incendie, qui a été éteint, s'est déclaré vendredi 4 mars dans ce bâtiment à l'extérieur de la centrale.
"La catastrophe de Tchernobyl en 1986 est un exemple durable de la raison pour laquelle il est vital de s'assurer que toutes les centrales nucléaires disposent des normes de sûreté et de sécurité les plus élevées", a souligné Rosemary DiCarlo. "Les Nations unies espèrent que l'accord annoncé sur l'établissement de couloirs humanitaires sera mis en œuvre sans délai et qu'un cessez-le-feu complet et inconditionnel sera rapidement convenu et promulgué", a-t-elle ajouté.
À l'issue de la deuxième session de négociations entre délégations russe et ukrainienne, les deux parties se sont mises d'accord jeudi soir 3 mars sur l'établissement d'un couloir humanitaire pour la sortie des civils et sur une cessation temporaire des hostilités le long des voies d'évacuation, a annoncé le chef de la délégation russe Vladimir Medinski.
"Seules la diplomatie et les négociations peuvent permettre de trouver une solution réellement durable au conflit actuel. Les combats en Ukraine doivent cesser. Et ils doivent cesser maintenant", a conclu Rosemary DiCarlo.
Xinhua/VNA/CVN