>> Un câble électrique situé près des explosions des gazoducs Nord Stream sera contrôlé en Suède
>> Le gaz a cessé de s'échapper de Nord Stream 1, mais pas de Nord Stream 2, selon la Suède
>> Un tronçon de 50 mètres manquant après une des explosions
>> Inspection de la rupture de Nord Stream dans les eaux suédoises
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| Système de gazoduc du projet Nord Stream 2 à Lubmin, en Allemagne. |
| Photo : AFP/VNA/CVN |
"Le 14 mars, nous évoquerons de nouveau devant le Conseil de sécurité de l’ONU la nécessité d'une enquête internationale sur les attentats perpétrés contre les gazoducs Nord Stream. (…) La discussion que nous avons demandée sera à huis clos, après quoi nous prévoyons de nous adresser à la presse", a-t-il écrit sur Telegram.
Le diplomate a souligné qu'après que le Danemark et la Suède ont mis fin à leurs enquêtes, leur "inutilité et le fait qu'elles ne visaient qu'à gagner du temps et à essayer de faire disparaître le principal et évident suspect de cet attentat terroriste" sont devenus encore plus clairs. "Il semble que Stockholm et Copenhague ne pouvaient plus traîner les pieds. Berlin essaie toujours de le faire, mais cela ne change rien à la situation", a résumé Dmitri Polianski.
Le 27 septembre 2022, Nord Stream AG a fait état de "dommages sans précédent" survenus la veille "sur trois lignes des gazoducs en mer Nord Stream et Nord Stream 2". Des sismologues suédois ont enregistré deux explosions sur les tracés offshore des gazoducs le 26 septembre.
Le bureau du procureur général de Russie a ouvert une enquête pour acte de terrorisme international. L'Allemagne, le Danemark et la Suède ont annoncé leurs enquêtes nationales, mais ont refusé d'impliquer la Russie.
TASS/VNA/CVN
