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L'Aston Martin de Fernando Alonso aux stands avant le Grand Prix d'Arabie saoudite de Formule 1 le 19 mars 2023. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
Alonso a d'abord été sanctionné pour non respect d'une pénalité: pendant qu'il purgeait ses cinq secondes de pénalité au stand, un mécano a mis le cric arrière en contact avec sa monoplace, alors que le règlement stipule qu'on ne peut "pas travailler" sur la voiture pendant sa pénalité.
L'écurie Aston Martin a ensuite produit des documents démontrant que d'autres concurrents avaient fait la même chose dans le passé sans être sanctionnés. Les commissaires de la FIA (Fédération internationale de l'automobile), qui lui avaient infligé dix secondes de pénalité supplémentaires, lui ont finalement donné gain de cause, rendant au pilote espagnol sa troisième place derrière les deux Red Bull de Sergio Perez et Max Verstappen.
"Cette question sera abordée lors de la prochaine réunion du Comité consultatif sportif, prévu jeudi 23 mars", a indiqué un porte-parole de la FIA, qui réglemente la F1: "Une clarification, a-t-il ajouté, sera publiée avant le Grand Prix d'Australie", programmé le 2 avril.
À Jeddah, précise la FIA, les commissaires ont autorisé Aston Martin à déposer un recours après avoir été mis en présence de "nouvelles preuves concernant la définition de (l'expression) +travailler sur la voiture+, pour laquelle il existait des précédents contradictoires".
AFP/VNA/CVN