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La salle de contrôle d'Euronext, société qui gère la Bourse de Paris. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
À 09h35, l'indice vedette CAC 40 prenait 0,36%, soit 23,05 points, à 6.487,53 points, retrouvant ses niveaux de clôture de jeudi dernier 15 juillet, avant qu'il n'enregistre de fortes pertes. La veille, il avait fini en hausse de 1,85%.
"C'est le jour de la BCE. Avant les conclusions de la réunion de politique monétaire, les marchés sont bien disposés à l'issue d'un rebond de deux jours", observe Tangi Le Liboux, un stratégiste du courtier Aurel BGC.
"La BCE est très attendue sur la formulation de ses indications prospectives maintenant qu'elle a achevé sa revue stratégique", poursuit-il.
"Les modifications à apporter étaient en négociation ces derniers jours, mais la politique monétaire elle-même ne va pas changer", selon lui.
"Avec la réunion de la Réserve fédérale américaine (Fed) également prévue la semaine prochaine, les jours à venir s'annoncent cruciaux pour l'avenir de la politique monétaire au moment où les infections au variant Delta augmentent à travers le monde", juge pour sa part Michael Hewson, analyste en chef chez CMC Markets UK.
Côté indicateurs, le climat des affaires a légèrement reculé au mois de juillet en France, mais se maintient à un "très haut niveau" bien supérieur à celui précédant la crise, selon l'Insee.
Les demandes hebdomadaires d'allocations chômage et les reventes de logements pour juin aux États-Unis sont également à l'agenda du jour.
Les publications d'entreprises, bien orientées dans l'ensemble, se poursuivaient par ailleurs.
Ipsos laisse la pandémie derrière lui
Le spécialiste français des études et sondages gagnait 3,97% à 38,00 euros, profitant d'un bénéfice net qui a fortement rebondi au premier semestre, a-t-il annoncé mercredi 21 juillet, estimant avoir "enjambé le creux de 2020" lié aux conséquences de la pandémie de COVID-19.
Publicis porté par les États-Unis
Le géant de la publicité montait de 2,15% à 55,20 euros après avoir révisé jeudi 22 juillet à la hausse ses perspectives pour 2021, s'attendant à retrouver ses niveaux pré-pandémie dès cette année, contre 2022 auparavant, poussé par sa croissance aux États-Unis.
Voltalia monte en puissance
Le producteur d'électricité renouvelable progressait de 2,12% à 21,70 euros, fort de revenus en hausse de 70% au premier semestre, à 150,9 millions d'euros.
AFP/VNA/CVN