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Le roi Charles III en Écosse, le 13 septembre. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
En mars, tout avait dû être annulé à la dernière minute sur fond de violentes manifestations en France contre la réforme des retraites.
Charles, dont ce devait être sa première visite officielle à l'étranger en tant que roi, s'était finalement d'abord rendu à Berlin, en Allemagne.
Six mois plus tard, le calme est revenu et l'heure est de nouveau à "l'Entente cordiale", ou concorde franco-britannique, dont les 120 ans seront célébrés en avril.
"La visite intervient dans un contexte de resserrement des liens entre le Royaume-Uni et la France", se félicite l'Élysée.
Des drapeaux nationaux français et britanniques devant l'Hôtel des Invalides dans le centre de Paris le 19 septembre. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
Lors d'un sommet en mars, Emmanuel Macron et le Premier ministre Rishi Sunak ont tourné la page de plusieurs années de brouilles sur le Brexit, la pêche et les migrants.
Pour les grandes retrouvailles, la République a sorti le grand jeu, des Champs-Élysées à la galerie des Glaces du château de Versailles.
Pour la circonstance, 8.000 policiers et gendarmes seront mobilisés mercredi 20 septembre et jusqu'à 12.000 vendredi, où la visite du roi coïncidera aussi avec celle du pape François à Marseille.
AFP/VNA/CVN