>> Le marché M&A dispose d’un grand potentiel de croissance
>> Le marché des fusions et acquisitions reste dynamique
>> Transactions de M&A animées dans le secteur bancaire au début de l'année
>> Tendances aux fusions-acquisitions dans le secteur de la santé
Vue d'une cité résidentielle Vinhomes Golden River à Hô Chi Minh-Ville. |
Photo : VNA/CVN |
Nguyên Quôc Anh, directeur adjoint du site web Batdongsan, estime que la transformation des entreprises créera de grandes tendances pour le marché. Au cours des prochains mois, les investisseurs continueront de se concentrer sur la restructuration de dettes et capitaux. Depuis lors, les fusions et acquisitions se dérouleront activement avec des formes telles que la vente de parts de projet, la vente de sociétés avec des projets existants…
Les activités de M&A attirent de plus en plus la participation d'investisseurs étrangers. David Jackson, directeur général de Colliers Vietnam, fait savoir que les investisseurs étrangers sont très confiants dans le potentiel du marché immobilier vietnamien. Les fusions et acquisitions joueront un rôle clé pour "sauver" des entreprises locales et seront le moteur de la reprise de ce marché.
"En fait, il existe toujours une vague de fusions et acquisitions sur le marché immobilier vietnamien. Colliers reçoit de nombreuses demandes d'investisseurs étrangers, surtout d'Asie du Nord, puis d'Amérique du Nord et de l'Europe", souligne David Jackson.
Selon Duong Thuy Dung, directrice générale de CBRE Vietnam, de nouveaux groupes d'investisseurs sont intéressés par le Vietnam. Au cours des trois premiers mois de l'année, ces investisseurs sont venus étudier le marché immobilier. Il s’agit de nouveaux "acteurs" de l'Afrique du Sud et du Moyen-Orient.
Le nombre d'investisseurs étrangers intéressés par les fusions et acquisitions immobilières a fortement augmenté. Mais selon Duong Thuy Dung, les transactions réussies sont encore peu en raison de plusieurs obstacles. La plupart des investisseurs étrangers offrent des taux d'intérêt très élevés, environ 18-20% par an, tandis que les entreprises vietnamiennes ne négocient que des taux de 13-15% par an, donc les deux parties ne se sont pas rencontrées.
Nguyên Công Ai, directeur général adjoint de KPMG Vietnam, fait savoir que les entreprises vietnamiennes ont dépensé beaucoup d'argent dans des fonds fonciers, des projets de construction, la prise en charge des procédures légales. Donc ils n’acceptent pas les bas prix dans les activités de M&A. “Cependant, les investisseurs étrangers ont l’avantage de capitaux et ils négocient donc souvent à bas prix”, explique Nguyên Công Ai.
Selon des experts, malgré des obstacles, les transactions de fusions et acquisitions sur le marché immobilier seront conclues au dernier trimestre de l’année.
VNA/CVN