>>La croissance du PIB français confirmée à 0,5% au 2e trimestre, selon Insee
>>France : les créations d’entreprises accélèrent en juillet
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Dans sa dernière note de conjoncture, publiée début octobre, l’organisme public avait pronostiqué une hausse du Produit intérieur brut (PIB) de 0,5% entre juillet et septembre. Un chiffre conforme à celui de la Banque de France, mais aussi de l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) et de plusieurs organismes bancaires.
"Il y a une convergence très nette" entre les différents organismes de prévision, reconnaît Xavier Ragot, président de l’OFCE, qui explique ce phénomène par l’existence de fondamentaux économiques à la fois clairs et cohérents.
"On est sur une trajectoire de consolidation", avec des "signaux positifs", explique-t-il.
Si la prévision de l’Insee était confirmée, ce serait le quatrième trimestre consécutif de croissance à 0,5% en France. Une prouesse inédite depuis 2010-2011, où trois trimestres avec une hausse de 0,6% du PIB, puis un dernier avec une hausse de 1,1%, s’étaient enchaînés.
"On commence à avoir une chronique de chiffres robustes", commente Hélène Baudchon, économiste chez BNP Paribas.
Pour le troisième trimestre, "l’ensemble des composantes de la croissance devrait participer" à atteindre ce chiffre de 0,5%, anticipe-t-elle.
La consommation des ménages s’est ainsi maintenue à un niveau élevé, malgré une légère érosion en août. Le climat des affaires, calculé à partir des réponses des chefs d’entreprises, a lui aussi connu une dynamique positive, atteignant en septembre un niveau inédit depuis six ans.
Selon une étude du cabinet Altares, le nombre de défaillances d’entreprises a par ailleurs baissé de 5,2% sur un an au troisième trimestre, atteignant son plus bas niveau depuis dix ans.
Quant au chômage, il a fortement baissé en septembre, avec 64.800 demandeurs d’emploi en moins, selon le ministère du travail.
AFP/VNA/CVN
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Dans un supermarché U du centre-ville de Lyon. Photo : AFP/VNA/CVN |
Dans sa dernière note de conjoncture, publiée début octobre, l’organisme public avait pronostiqué une hausse du Produit intérieur brut (PIB) de 0,5% entre juillet et septembre. Un chiffre conforme à celui de la Banque de France, mais aussi de l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) et de plusieurs organismes bancaires.
"Il y a une convergence très nette" entre les différents organismes de prévision, reconnaît Xavier Ragot, président de l’OFCE, qui explique ce phénomène par l’existence de fondamentaux économiques à la fois clairs et cohérents.
"On est sur une trajectoire de consolidation", avec des "signaux positifs", explique-t-il.
Si la prévision de l’Insee était confirmée, ce serait le quatrième trimestre consécutif de croissance à 0,5% en France. Une prouesse inédite depuis 2010-2011, où trois trimestres avec une hausse de 0,6% du PIB, puis un dernier avec une hausse de 1,1%, s’étaient enchaînés.
"On commence à avoir une chronique de chiffres robustes", commente Hélène Baudchon, économiste chez BNP Paribas.
Pour le troisième trimestre, "l’ensemble des composantes de la croissance devrait participer" à atteindre ce chiffre de 0,5%, anticipe-t-elle.
La consommation des ménages s’est ainsi maintenue à un niveau élevé, malgré une légère érosion en août. Le climat des affaires, calculé à partir des réponses des chefs d’entreprises, a lui aussi connu une dynamique positive, atteignant en septembre un niveau inédit depuis six ans.
Selon une étude du cabinet Altares, le nombre de défaillances d’entreprises a par ailleurs baissé de 5,2% sur un an au troisième trimestre, atteignant son plus bas niveau depuis dix ans.
Quant au chômage, il a fortement baissé en septembre, avec 64.800 demandeurs d’emploi en moins, selon le ministère du travail.
AFP/VNA/CVN