Organisé par l'Association des victimes de l'agent orange/dioxine du Vietnam (VAVA), il avait pour but de consulter des experts de divers domaines en vue d'achever l'étude de telles politiques.
Les délégués ont discuté des règles de qualification de victime de l'agent orange, des normes de catégorisation de sa situation et de ses pathologies, de soins et d'aides, ainsi que du rôle de l'Association des victimes de l'agent orange/dioxine pour aider ses membres et contribuer à l'application effective des politiques... Ils ont également évalué la mise en oeuvre de ces dernières, avancé des suggestions et défini des orientations pour amender et compléter les politiques.
Les séquelles des produits chimiques toxiques utilisés par les Etats-Unis pendant la guerre au Vietnam sont encore très lourdes, non seulement pour l'environnement mais aussi pour la santé humaine, a affirmé le docteur Nguyen The Luc, général de division, professeur associé et vice-président et secrétaire général de l'Association des victimes de l'agent orange/dioxine du Vietnam.
Ces dernières années, a-t-il poursuivi, le Parti et l'Etat vietnamiens se sont profondément intéressés au règlement de ces séquelles. Le Vietnam a défini des options et politiques d'assainissement de l'environnement des zones touchées, promulgué des politiques privilégiées pour les anciens combattants intoxiqués par l'agent orange/dioxine et pour leurs enfants, pris soins des victimes tout en les soutenant dans leur lutte afin que la justice leur soit rendue, et favorisé les activités de la VAVA...
Selon l’Association des victimes de l’agent orange/dioxine du Vietnam (VAVA), de 1961 à 1971, l’armée américaine a déversé environ 80 millions de litres de défoliants au Vietnam, lesquels contenaient près de 400 kg de dioxine, un produit toxique puissant qui perturbe les fonctions hormonales, immunitaires et reproductives de l'organisme. Plus de 4,8 millions de Vietnamiens ont été exposés à la dioxine, dont 3 millions en subissent encore les séquelles.
Les délégués ont discuté des règles de qualification de victime de l'agent orange, des normes de catégorisation de sa situation et de ses pathologies, de soins et d'aides, ainsi que du rôle de l'Association des victimes de l'agent orange/dioxine pour aider ses membres et contribuer à l'application effective des politiques... Ils ont également évalué la mise en oeuvre de ces dernières, avancé des suggestions et défini des orientations pour amender et compléter les politiques.
Les séquelles des produits chimiques toxiques utilisés par les Etats-Unis pendant la guerre au Vietnam sont encore très lourdes, non seulement pour l'environnement mais aussi pour la santé humaine, a affirmé le docteur Nguyen The Luc, général de division, professeur associé et vice-président et secrétaire général de l'Association des victimes de l'agent orange/dioxine du Vietnam.
Ces dernières années, a-t-il poursuivi, le Parti et l'Etat vietnamiens se sont profondément intéressés au règlement de ces séquelles. Le Vietnam a défini des options et politiques d'assainissement de l'environnement des zones touchées, promulgué des politiques privilégiées pour les anciens combattants intoxiqués par l'agent orange/dioxine et pour leurs enfants, pris soins des victimes tout en les soutenant dans leur lutte afin que la justice leur soit rendue, et favorisé les activités de la VAVA...
Selon l’Association des victimes de l’agent orange/dioxine du Vietnam (VAVA), de 1961 à 1971, l’armée américaine a déversé environ 80 millions de litres de défoliants au Vietnam, lesquels contenaient près de 400 kg de dioxine, un produit toxique puissant qui perturbe les fonctions hormonales, immunitaires et reproductives de l'organisme. Plus de 4,8 millions de Vietnamiens ont été exposés à la dioxine, dont 3 millions en subissent encore les séquelles.
VNA/CVN