>>États-Unis : le Congrès adopte définitivement la loi de finances 2015
>>La croissance américaine encore plus solide que prévu au 3e trimestre
Lors du traditionnel discours sur l'état de l'Union au Capitole de Washington à 21h00 (02h 00 GMT mercredi), M. Obama s'appuiera sur de bons chiffres économiques - chômage sous la barre des 6%, croissance au plus haut depuis onze ans - pour avancer une série de propositions devant permettre, selon lui, que cette reprise "profite à tout le monde".
À deux ans jour pour jour de son départ de la Maison Blanche, M. Obama concrétise la volonté du parti démocrate d'augmenter la pression fiscale sur les 1% de foyers les plus aisés afin de financer de nouvelles aides pour la classe moyenne.
"Les 400 contribuables les plus riches ont payé en moyenne 17% d'impôt en 2012, moins que les familles de la classe moyenne", a expliqué l'exécutif américain en présentant cette initiative sans attendre le discours devant le Congrès.
Dénonçant un code des impôts "injuste", la Maison-Blanche propose en particulier la suppression d'une niche portant sur la taxation des revenus du capital : 80% de l'effort concernerait 0,1% des plus aisés, c'est-à-dire ceux dont les revenus excèdent deux millions de dollars par an.
>>La croissance américaine encore plus solide que prévu au 3e trimestre
Le président américain Barack Obama à la Maison-Blanche à Washington le 16 janvier. Photo : AFP/VNA/CVN |
Lors du traditionnel discours sur l'état de l'Union au Capitole de Washington à 21h00 (02h 00 GMT mercredi), M. Obama s'appuiera sur de bons chiffres économiques - chômage sous la barre des 6%, croissance au plus haut depuis onze ans - pour avancer une série de propositions devant permettre, selon lui, que cette reprise "profite à tout le monde".
À deux ans jour pour jour de son départ de la Maison Blanche, M. Obama concrétise la volonté du parti démocrate d'augmenter la pression fiscale sur les 1% de foyers les plus aisés afin de financer de nouvelles aides pour la classe moyenne.
"Les 400 contribuables les plus riches ont payé en moyenne 17% d'impôt en 2012, moins que les familles de la classe moyenne", a expliqué l'exécutif américain en présentant cette initiative sans attendre le discours devant le Congrès.
Dénonçant un code des impôts "injuste", la Maison-Blanche propose en particulier la suppression d'une niche portant sur la taxation des revenus du capital : 80% de l'effort concernerait 0,1% des plus aisés, c'est-à-dire ceux dont les revenus excèdent deux millions de dollars par an.
AFP/VNA/CVN