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C’est ce qu’a déclaré Lê Manh Hà, vice-président du Comité populaire municipal lors, d’une séance de travail mardi 7 avril avec les services concernés.
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| La totalité des équipements contenant des radioéléments de Hô Chi Minh-Ville aura une puce de localisation. |
| Photo : Manh Duong/VNA/CVN |
Lê Manh Hà a rappelé qu’en 2014, la Sarl Apave Asie-Pacifique a été victime du vol d’un tel équipement qui a été trouvé après. La municipalité a alors demandé au Service municipal des sciences et des technologies, en partenariat avec le Centre d’étude et de formation à la conception de microcircuits (ICDREC), de concevoir et d’installer des puces de localisation.
Suite à la récente perte d’un équipement à Vung Tàu, dans la province de Bà Ria-Vung Tàu (Sud), M. Hà a donné une priorité aux équipements portables. D’après lui, ces équipements sont très dangereux à cause de leur élément radioactif, de sorte que «cette installation de puces devrait être réalisée rapidement».
Nguyên Khac Thanh, directeur adjoint du Service municipal des sciences et des technologies, a confié qu’actuellement, les organismes concernés ne sont pas chargés de contrôler les équipements des entreprises comprenant des éléments radioactifs, ce qui selon lui, est une lacune de la réglementation administrative actuelle.
Depuis le début de l’année, un système de localisation est testé. Trân Huy Khanh, chef de cabinet de l’ICDREC, a précisé qu’il est le fruit d’un partenariat avec le Service municipal des sciences et des technologies. «Du 8 au 15 avril, nous installerons une puce sur 15 appareails de la compagnie Apave, et d’ici à la fin de cette année, la totalité des 124 autres appareils portables présents à Hô Chi Minh-Ville seront ainsi équipés», a souligné Trân Huy Khanh.
Selon les statistiques, la mégapole du Sud est la première localité du pays en termes de nombre d’équipements contenant des éléments radioactifs avec 30 % du parc national. Dix-neuf ateliers emploient actuellement ces sources radioactives portables.
Hoàng Phuong/CVN