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Plus d'une dizaine d'écoles néo-zélandaises ont reçu jeudi 28 juillet des alertes à la bombe, qui ont provoqué de nombreuses perturbations, les autorités dénonçant une cyberattaque orchestrée depuis l'étranger. La plupart des écoles concernées ont été fermées ou évacuées. Cherie Taylor-Patel, présidente de la Fédération des directeurs d'école de Nouvelle-Zélande, a déclaré à la radio RNZ s'être entretenue avec le ministère de l'Éducation, qui "croit savoir qu'il s'agissait en fait d'un cyberbot provenant de l'étranger". La police néo-zélandaise a déclaré dans un communiqué qu'elle "ne pense pas qu'il y ait un risque pour la sécurité". Cette nouvelle vague de menaces est survenue 24 heures après de faux appels mercredi 27 juillet visant quatre écoles néo-zélandaises, à Waikato, Thames et Gisborne (Nord). Les autorités ont déclaré qu'elles enquêtaient toujours sur les menaces visant les écoles de Marlborough, Masterton, Kaikoura, Greymouth, Queenstown, Levin, Whanganui, Rolleston, Takaka, Geraldine, Dunstan, Ashburton et Palmerston North. Le commandant de la région de Tasman, Simon Feltham, a déclaré qu'ils interrogeaient "deux jeunes" au sujet d'une menace contre le Marlborough Girls' College. Aucun engin explosif n'a été trouvé dans les écoles visées.
APS/VNA/CVN